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Les décisions prises de la cojel.
1- Dissolution de l’UAGG
2- Annulation de l’investiture du président Bebeto
3-Une AG pour la paix
Le secrétaire à l’organisation de l’Afadel Francis Bago vient de faire un poste pour le report de l’investiture du président Gnaga Bebeto qui devrait avoir lieu ce samedi 11 septembre 2021 au maquis Odida.
La cojel étant satisfaite, elle félicite l’Afadel et son président d’honorer les décisions prises par les leaders et présente les excuses pour les manquements.
On ne règle pas les problèmes dans l’euphorisme et colère car on ne pourra pas manger les patates chaudes.
Il faut savoir se retirer pour mieux sauter.
La cojel présente les excuses au parrain de la cérémonie Me Djiriga Amos Gnakouri et au responsable du maquis Odida David Gohi pour les désagréments et l’annulation de la cérémonie de l’investiture.
Nous félicitons et appelons aux deux présidents Gatto et Bebeto à la raison et à la cohésion car ils sont les représentants des artistes.
Nous présentons les excuses des artistes à tout Lakota pour leur mésentente.
Merci et ensemble on est fort et on ira très loin.
Le vice président de la cojel chargé des associations.
Président Mangou Premier
Clement Tetehi PRÉSIDENT DE GNG
Djidji est en proie à de fortes turbulences depuis son érection tardive en sous-préfecture. Certains considéreront cela comme une crise d’adolescence. Cela n’étonne guère les observateurs avisés. La sous-préfecture de Djidji vit actuellement une ère de juvénilité passagère faite de soubresauts par une série d’avalanches programmatique de dates festives à l’honneur de la sous-préfète N’goua Chantal à qui les ressortissants de cette sous-préfecture de Djidji, souhaiteraient rendre un grand bel hommage pour avoir été le premier sous-préfet du pays de Djidji.
Dates programmées dans la passion et non finalement respectées et pour cause, nous avons du mal à accorder nos violons, des difficultés à travailler ensemble, en fondamentale synergie.
Tout cela est déplorable, ubuesque ou kafkaïen : faisant de nous, la risée aux yeux du monde. Je le regrette profondément. Mais il n’y a pas de raison de désespérer, tout cela s’inscrivant dans la marche normale de toute progression humaine durable. Les débuts étant toujours difficiles et pénibles.
J’invite mes frères et soeurs à se retrouver, se respecter, se parler et à travailler ensemble dans la considération des compétences des uns et des autres et de l’intérêt général pour la réalisation de cette fête qui nous nargue de nos divisions conséquentes.
Maintenant, quelles solutions ?
A suivre,