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Cheick le pro de la photo : Il fait la fierté de ses parents

Inspirant

Ce matin étant à la recherche d un studio de photos dans le but de faire des photos d identité pour des besoins administratifs, je tombe sur ce jeune garçon , voici ce qui en suit.


Moi : Bonjour petit je veux faire des photos où se trouve le patron ?


Le petit: bonjour Monsieur c est moi qui prend les photos , veuillez vous asseoir svp.


Moi: hein tu dis quoi ?


Le petit: je dis c est moi le photographe asseyez vous, collez le dos au mur et levez légèrement la tête svp.

Et tout le reste qui suit jusqu’à l impression de mes photos.


Juste après j échange avec lui et je découvre que le petit se nomme Cheick a 13 ans et est en classe de 4 ieme. Il gère cet atelier qui appartient à son père pendant ces congés et vacances depuis plus de 3 ans puisque son père en a ouvert un deuxième où il travaillait au meme moment.


J ai aussi eu l occasion d échanger avec sa mère , franchement l enfant m a épaté et est une vrai fierté pour ses parents qui sont vraiment très modestes.
Il a été courtois, poli et surtout très professionnel avec moi pour un enfant de son âge.


Cheick Dieu te bénisse , te garde et protège toute ta famille. Tu es un vrai homme et un exemple pour nous.

Auteur spiritus Dei

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PHOTO. L’adorable photo de famille de Paul Pogba, aux côtés de sa femme et son bébé

Actualités

Closer

 Closer lun. 27 mai 16:20 UTC+2 

A l'occasion de ses vacances à Abu Dhabi, Paul Pogba a posté un cliché on ne peut plus mignon, entouré de sa famille.

La famille, c’est sacré ! Paul Pogba passe quelques jours à Abu Dhabi, aux Emirats Arabes Unis. Le champion du monde de football a tenu à partager l’un de ses moments de famille avec ses fans, sur Instagram. Sur une photo, le footballeur français se trouve dans la mosquée Sheikh Zayed, aux côtés de sa femme, Maria Salaues, et de sa maman, Yeo Moriba. Dans ses bras, il porte son fils. Un portrait de famille adorable, qui respire l’amour et le bonheur. Son épouse a, elle aussi, posté un cliché sur la toile. Alors que son mari porte leur enfant, elle se blottit contre son épaule, le sourire aux lèvres.

Les internautes ont évidemment réagi à ces publications, très touchés. “rester à l’unisson. nous croyons en toi”, “Pogfamilly”, “Moi aussi je veux faire partie de cette famille svp”, “Le patron reste heureux avec le joyeux week-end de ta famille❤❤❤❤”, lit-on en commentaires.

A 25 ans, Paul Pogba est récemment devenu papa, pour la première fois. Son prénom n’a toujours pas été révélé, ni par lui ni par ses proches. Paul Pogba partage la vie de Maria Salaues, une Bolivienne âgée de 24 ans, depuis 2016. Les deux amoureux se sont rencontrés à New York, où la jeune femme s’est installée en tant qu’agent immobilier. En couple depuis près de trois ans, les deux jeunes parents sont très discrets sur leur histoire d’amour, et mettent tout en œuvre pour rester à l’abri des regards indiscrets.View this post on Instagram

pogfamilly ❤️

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Alcool : Le mode de vie des pères influence aussi le fœtus

Des études ont montré que l’alcoolisme paternel pouvait entraîner chez l’enfant une cascade d’événements activant des gènes censés rester silencieux. plainpicture/Readymade-Images/Philippe Levy/plainpicture/Readymade-Images/Philippe Levy

Par Soline Roy Publié le 17/05/2016 à 11:41

Alimentation, tabac ou alcool peuvent modifier l’information génétique portée par les spermatozoïdes.

La science en est désormais certaine: un enfant, cela se fait… à deux! Car si l’environnement dans lequel évolue la mère est déterminant pour le développement du fœtus, on découvre depuis quelques années que «le mode de vie et l’âge du père peuvent influencer les molécules qui contrôlent les fonctions génétiques. Un père peut affecter sa descendance directe, mais aussi les générations futures», explique le Dr Joanna Kitlinska. Spécialiste en biochimie et biologie cellulaire et moléculaire à l’Université de Georgetown (Washington), elle signe dans l’American Journal of Stem Cells , une revue de littérature sur la question.

Notre patrimoine génétique ne fait pas tout. Les gènes contiennent les «mots» (l’ADN) permettant de donner à diverses molécules les ordres nécessaires au bon fonctionnement de l’organisme. Mais une autre «couche» d’information modifie la façon dont l’information sera délivrée ou interprétée, sans modifier l’ADN en lui-même. C’est ce qu’étudie l’épigénétique.

Modification de l’histone

Imaginez: vous (le gène) dites à un enfant (la cellule) «Tu manges ton assiette.» Si un bruit a masqué votre voix, l’enfant peut entendre «tu ranges ton assiette» ; c’est la «méthylation de l’ADN», dans laquelle une enzyme (type de protéine) fait «taire» un gène. Votre phrase peut aussi être prononcée selon diverses intonations (interrogation, ordre…) ; ce sont les «microARN», petits messagers qui transmettent (et parfois transforment) l’ordre de l’ADN. Enfin, si l’enfant rêve encore un peu au conte de fées que vous venez de lui lire, il pourra croire qu’il doit dévorer l’assiette elle-même ; c’est une «modification de l’histone», protéine qui empaquette l’ADN dans le noyau, censée disparaître pendant la spermatogenèse mais dont quelques-unes persistent en transportant avec elles un peu d’information génétique.

Lors de sa fabrication, le spermatozoïde est soumis à ces modifications qui seront transmises à l’enfant conçu. Mais des données épidémiologiques semblent montrer que «la période in utero, la petite enfance et l’adolescence sont des “fenêtres” pendant lesquelles l’environnement peut affecter la maturation des cellules germinales à l’origine des futurs spermatozoïdes», explique Romain Barrès, chercheur à l’Université de Copenhague et coauteur en 2015 de travaux sur des modifications dans les spermatozoïdes d’hommes obèses après chirurgie bariatrique.

Système dynamique

Ces modifications épigénétiques sont très utiles. «Contrairement au code génétique, relativement statique, c’est un système qui, à partir du même code, permet par exemple de “dire” à une cellule de foie de fabriquer du foie et pas du poumon, en faisant “taire” le gène “poumon”», explique Romain Barrès. Elles pourraient aussi donner au bébé des «armes» pour affronter le même environnement que celui de ses parents. Mais elles s’avèrent parfois superflues, voir délétères.

On sait notamment que l’âge du père au moment de la conception et les facteurs environnementaux auxquels il est ou a été exposé (alimentation, toxiques comme le tabac, irradiation, stress…) entrent en jeu. Les auteurs détaillent en particulier les travaux sur l’influence de la consommation d’alcool. Le risque d’alcoolisation fœtalechez les enfants dont la mère a bu pendant la grossesse est bien connu, et s’explique aisément par le fait que l’alcool traverse le placenta pour parvenir quasiment «intact» au fœtus. Mais par le jeu de l’épigénétique, la consommation d’alcool par le père avant la conception semble ne pas être anodine. Des études ont ainsi montré que la prise d’alcool chronique par le père pouvait entraîner chez l’enfant une cascade d’événements activant des gènes censés rester silencieux, et ce même en l’absence de toute consommation d’alcool par la mère avant et pendant la grossesse. Dans d’autres travaux, des souris dont les géniteurs avaient été exposés à l’alcool étaient plus petits à la naissance, nageaient moins bien, ou avaient du mal à apprendre de nouvelles tâches.

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