Sur la terre un jour assombri. Sur la terre un jour incertain. Et où le soleil sommeille encore. Ce jour,sans notre soleil qui dort.. Dans cette nuit noire encombrante. Le vent s’élance, s’évade dans le silence. Au loin, j’observe mon printemps. Qui s’éloigne prier vers l’inconnu. Suivant la voix qui l’appel encore.
Sur la terre un jour assombri. Sur notre terre un jour incertain. Et où le soleil sommeille encore. J’observe mon Printemps en prière. Qui s’en est allé dans le sanctuaire. Malgré le vent qui souffle, souffle. Malgré le tonnerre qui s’énerve, énervé. Au loin elle s’en est allé dans l’inconnu. En me laissant, m’oubliant encore.
Sur la terre un jour assombri. Sur notre terre un jour incertain. Parti sur la montagne de nos aïeux. Dans le sanctuaire sur la montagne. A la rencontre de El – SANDDAï. Du DIEU de l’impossible, tout puissant. Tu y resteras à son écoute longtemps. Car il est ton Jéhovah-jire’. Le DIEU qui pourvoit toujours. Et qui donne suffisamment encore.
Sur la terre un jour assombri. Sur la terre un jour incertain. Et revoilà mon printemps transfigurée. Comme notre Moïse au Mont Sinaï. Elle me revient après des prières. Après des moments de silence. Comme une chanson qui s’en est allé. Et qui revient de loin comme un refrain.