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Travailler avec Amackha Club de Djidji n’est pas une première, j’en suis cofondateur avec Goubo Martin Gnepie depuis le 20 août 1977 dans la cacaoyère de mon père adossée à notre ferme familiale. Nous avons ce même jour continuer notre rêve de gosse le soir chez le vieux Gnagno Pierre où nous étions allés rendre visite à notre belle soeur Totikↄon Marie-Chantal et sa copine Thérèse.
C’est après une semaine plus tard, le 26 août que nous avons réuni nos frères, soeurs, camarades ou copains pour organiser la première réunion constitutive qui nous a donné notre premier président en la personne de Zabehi Prosper Dido, actuellement notable de Djidji, précisément chef du village de Yoroglôh.
Alors pourquoi Amackha Club de Djidji pour ce don de 3.000.000 ?
Toute ma petite vie, j’ai travaillé au services des autres dans des associations et partis politiques de façons discrètes. Mais ces derniers temps, j’ai été profondément déçu de l’échec de la fête de la sous-préfecture de Djidji. Alors que j’avais prévenu et conseillé à sa pleine réussite. Mais le succès ayant été déjà intégré et l’ambiance libérée, point d’oreilles attentives. Et ce qui devait arriver, arriva ! Échec collectif moi y compris car même la défaite d’une équipe est imputable à son entraîneur, son chef ou à son président.
Il faut se rendre à l’évidence, incapables de travailler ensemble en symbiose pour des raisons politiques, tribales, claniques, religieuses et/ou personnelles, il faudra en attendant qu’une soeur ou un frère de l’indispensable développement durable prenne ses responsabilités, il faudra dis-je, se tourner vers ce qui marche ailleurs.
Des exemples fleurissent de réussite : Awahi de Niagbaméko, AFDF de Djidji, les Onusiens de Krikpoko mais c’est aussi Marie-Claire Dago Dame d’Feu, Dadi Nassa, Assi Yablet pour ne citer que ceux-là.
La réalité est là, toute belle, toute puissante, vaut mieux un commando qui se condamne au succès que la multitude de freins qui pillulent de pollution où des égos sabotent l’intérêt général pour leur propre gloire. Oui vaut mieux être seul que mal accompagner.
Amackha : grâce à ceux qui se reconnaissent encore dans ce club de jeunesse et parce que c’est grâce à son premier président que les locaux de la sous-préfecture et la résidence de Madame la sous-préfète ont été achevés.
Ce travail dont personne ne loue les mérites a été avec vous, une de mes fieretés car à l’origine de son choix quand le président de l’Ardspf, Armel-Thomas Zatchi était à la recherche de la personne idéale pour la finition de l’oeuvre. Fallait-il le préciser!
Cela dit, je répondrai à certains curieux que la destination et la gestion des fonds relèvent des affaires internes et ne concernent donc que les membres du club. Attendons donc de voir.
Pour terminer, je dirai que seuls les membres statutaires et/ou fondateurs d’Amackha Club de Djidji se connaissent.
Cet article fait suite à celui-ci ci dessous.
C’est une bonne chose de soutenir notre jeunesse. Je la félicite d’avoir réussi cette fête d’investiture qui rend hommage à la portée de leur pragmatisme. Cependant, il serait préférable de les laisser occuper eux-même l’espace médiatique dédié.
Aussi demanderai-je à toi Atokpah Alain Zadi Djegoue de me retirer momentanément de la liste de soutien ci-dessous. Dans ma mission politique de paix, je cultive la neutralité, décidant ainsi de me mettre au dessus de tout conflit potentiel pour servir au cas échéant de conciliateur.
Je suis celui qui arrange, Dano et je souhaiterais demander à mes frères de contenir notre émotion de voir manifester et émerger dans la sous-préfecture de Djidji, une jeunesse responsable se projetant dans un avenir prometteur.
Restons à notre place et cherchons à travailler dans l’harmonie avec elle pour le développement indispensable de notre localité commune. Nous devons inviter à l’autonomie de cette jeunesse. Lui éviter par notre petite expérience de la vie, des péchés capitaux et originels, nous oblige à la responsabilité de franchise envers elle.
Il est de notre devoir de recommander l’humilité à notre jeunesse : elle réalisera de grandes choses si et seulement si nous ne la dressons pas contre elle-même et contre les autres générations.
Merci Atokpah Alain Zadi Djegoue initiateur infatigable d’actes buldozers ou révolutionnaires autour de lui et particulièrement en faveur de la sous-préfecture de Djidji.
Tout en exprimant ma joie en la réussite de la fête de notre jeunesse et ma satisfaction de voir se créer un comité de soutien autour de leurs futures actions, je souhaiterais avoir des précisions sur un certain nombre de choses.
Pour la réussite de la mission de notre jeunesse, je prône l’harmonie et non la précipitation, l’impudence en des invectives caractérisées ici et là.
Dans la sous-préfecture de Djidji, la jeunesse doit, je le répète, travailler avec tout le monde et éviter des péchés capitaux et/ou originels comme elle doit s’affranchir de certains pièges qui pourront vite se révéler en des impasses ou murs infranchissables.
Conduire Djidji, c’est d’abord se prévaloir d’un code de conduite ou de principes, confirmé par un permis de conduire de niveau convenu auparavant. Même si l’un des principes en philosophie recommande que pour se poser il faut s’opposer, il est évident qu’on doit recourir à toute sagesse qui rappelle que toute action appelle une réaction que si elle n’est pas maîtrisée entraîne indubitablement le désordre ou l’anarchie préjudiciable à toute acte de développement durable et harmonieux.
Je termine pour dire qu’étant président du P.I.P, un parti politique prônant la paix et la réconciliation en Côte d’Ivoire voire dans le monde, je me dois selon les principes de paix, de conciliateur et de réconciliateur qui me caractérisent, de me situer au dessus de tout groupement dont j’ignore de prime abord, les tenants et les aboutissants, fusse-t-il de ma ville natale, de telle sorte que s’il y a ici soutien, il ne saurait être, pour un observateur averti, que de principe.
Ekbèley DjiDjiyeu,
Ayoh Djidji Nâh sous-préfecture,
Dieu bénisse Djidji,
Djidjiyeu Nâh Mènoh!
Vive la Côte d’Ivoire.
Le Président du PIP,
Amk. GNADOU Dano Zady,
Ayokha Amk. Cubi,
Amackha-Club de Djidji est une pépinière de Chefs dont tu as été le premier président. Je suis honoré par ta position actuelle de chef de notre quartier Soleil, Yoroglôh! C’est aussi grâce à toi que les oeuvres, résidence de la sous-préfète, les bureaux de la sous-préfecture de Djidji ont eu une victorieuse finition. La preuve que je ne m’étais pas trompé quand je donnais ton nom au président de l’ardspf, quand celui-ci était à la recherche d’une compétence locale pour finir les travaux des bâtiments suscités. Je te vois monter en puissance pour le bonheur de tous les Amackha. Je te renouvelle ici ma profonde gratitude et mon indéfectible soutien.
Ayokha Tchiffy,
Amk. Dano Zady,
Il est bon aujourd’hui d’avoir UN SITE INTERNET, une fenêtre ouverte sur le monde. Le créateur, en l’occurrence, le président GNADOU Dano Zady s’est tourné vers DJIDJI afin de lui offrir une visibilité numérique. Idem pour zikisso.com (la sous-préfecture de ZIKISSO) et gagore.com (la sous-préfecture de GAGORÉ). Nous le remercions pour cette grande et exceptionnelle générosité.
Nous invitons tous les frères et toutes les sœurs de toute la sous-préfecture à se saisir de cette opportunité. Ils doivent s’approprier ce merveilleux outil de communication, de partage et de dévéloppement.
La rédaction,
GNADOU Dano Zady est originaire et natif de Djidji, président du P.I.P (Parti Ivoirien du Peuple) dont la politique est orientée essentiellement vers la paix,
Cofondateur d’Amackha Club de Djidji (créé le 26 août dans l’enceinte de l’École Primaire Publique de Godiéko)
Président Fondateur du Mouvement Khadhor’ depuis 1999 en France.
J’ai été personnellement touché par ce vibrant appel d’un frère qui, pour sa région et sa sous-préfecture, ne ménage aucun effort au près de ses concitoyens, qui à les froisser malgré lui ou à les prendre dans le sens du poil, dans la seule perspective de tirer le meilleur d’eux en ce qui concerne le développement, le seul qui vaille à Djidji ou ailleurs. Nous en sommes conscients même si nous ne sommes pas souvent d’accord sur la méthode.
Alain Zadi Djegoue a fait une contribution utile en ce sens qu’elle nous invite à fédérer nos énergies dans la réalisation de nos objectifs communs. Chacun doit y apporter une réponse participative ou constructive.
Voilà la mienne pour souligner que cet appel de Zadi Alain nous concerne tous autant que nous sommes, sans aucune exception de potentiels gros donateurs. Dieu nous a comblé en dons. Chaque don est pleinement suffisant à toute réalisation collective, à toute exponentielle agrégation potentielle. Réunissons nos forces ou dons, dans cette nouvelle mission.
Comme je l’ai dit tantôt, un prévisionnel, une planification de toutes les ressources serait nécessaire pour la réussite de cette aoûtienne fête estivale de la sous-préfecture de Djidji.
Je vous remercie,
Mes chers amis,
Depuis fort longtemps, je fais l’objet de plusieurs attaques. Je m’en suis accommodé et je m’en accomoderai toujours.
La dernière attaque émane de Alain Zadi Djegoue, un cerbère au service de la malfaisance. C’est de bonne guerre. Se faire manipuler par une tierce existence ou la haine pour s’attaquer à des proches, cela s’appelle la traîtrise ou la lâcheté.
Puisqu’il en est ainsi, j’invite Zadi Alain à un débat public, où il veut, quand il veut et comme il veut.
Je suis son homme. Je ferai en sorte qu’il se défoule une fois pour toute afin que notre communauté puisse retrouver sa quiétude, son sens de la mesure et sa joie de vivre d’antan.
Mon challenge, le seul qui vaille, est de venger tous les frères et toutes les soeurs qu’il a agressés sans aucune raison valable durant des années.
Trop, c’est trop !
Mes chers frères,
Mes chères soeurs,
Je vous invite à venir très nombreux à ce débat de la haine et de l’amour, du mépris et de la considération, de l’avarice et de la générosité.
J’attends avec impatience qu’il relève ce défi de l’opportunité d’être le coq gaulois. Sinon, qu’il se taise à jamais. Cela nous fera des vacances !
Je vous remercie.
GNADOU Dano Zady,
La paix n’est ni la faiblesse, ni la démission encore moins la défaite.
La paix dompte la guerre et triomphe de l’apocalypse.
Que nous arrive-t-il ?
Sommes-nous les dignes représentants de nos ancêtres ?
Pourquoi nous condamnons-nous à la remorque de nos frères ?
Cette situation, quoi qu’il en soit, ne doit plus perdurer, au risque de rester dans la mémoire collective ivoirienne comme des demeurés.
DJYDJYEY, nous sommes, aujourd’hui la risée de tous.
DJYDJYEY, nous sommes le néant, aujourd’hui aux yeux de tous.
DJYDJYEY, nous ne pouvons plus nous appeler aujourd’hui.
DJYDJYEY, déconnectés de la lumière et de la fraternité.
DJYDJYEY, aux abonnés absents, cœur de pierre, conflictuels jurés.
Honorons notre serment d’unité de rassemblement de qualité.
Entamons de la plus belle façon, notre politique de dédiabolisation.
Débarrassons-nous de l’esprit de goguénardise que nos frères nous reprochent tant.
Reconstruisons maintenant et ici, notre digne filiation, en nous instruisant de la glorieuse marche de l’humanité.
Nos parents ont été les artisans des grands travaux de construction de nos routes.
Ils ont construit :
Avec quelle richesse, nos parents ont-ils, réalisé tout cela? Si ce n’est qu’avec la force unie de la fraternité et le sarment de l’humanité.
Nous leur rendons ici un grand hommage et leur demandons de nous pardonner d’avoir failli à notre devoir. Nous sommes fiers de vous, dignes parents et nous vous assurons de notre sens de responsabilité.
Chers frères et sœurs, je vous prie d’opérer ici avec moi, à la transplantation et à l’acceptation d’un cœur nouveau de prière qui de par son seul fait et sa seule activité, nous transfère à l’ère de l’Éckhoh dont l’humanité attend l’inéluctable avènement. Entre Djidjiyey, faisons la paix des braves. Évitons d’être un poids mort ou un handicap pour Djikidjôh, la région de l’iroko voire le pays Dida tout entier.
A suivre…
Le Président,
Amk. GNADOU Dano Zady,