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Les Amazones de Djidji. Réunion de travail chez notre Sœur Yvette Okou, la secrétaire de l’Association des filles de Djidji en France.
Bilan de la fête de l’inauguration du Préau du dispensaire de Djidji. Bâtir Djidji est notre devise.
Avec notre Incontournable et infatigable Présidente Solange Able Zokou. Merci Prési. Grosses bises.
Laurence Depris Sery, votre Vice-présidente à votre service.
En plus des lampadaires qui illuminent déjà la petite cité de Niagbaméko, ce sera environ une trentaine de Lampadaires économiques en énergie électrique qui seront expédiées de la France rien que pour le bonheur des parents vivant à Niagbaméko.
Encore une œuvre des filles et fils de Niagbaméko en France (AWAHI-France).
Sous l’expertise technique locale d’un fils du village, M. @Goble Danon Nicodème responsable à la Compagnie Ivoirienne de l’électricité (C.I.E) et la Supervision du Président de la MUDENIA ( Mutuelle de Développement de Niagbaméko, Prof. Jaures Légou , les travaux d’implantation des nouveaux poteaux électriques (made in France) dans la cité AWAHI débutent bientôt🙏
💛💚#AWAHI_FRANCE💚💛
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Pour le président de l’Ifri (Institut français des relations internationales), les Occidentaux doivent tirer les conséquences de la montée en puissance de la Chine. Thierry de Montbrial décrypte les bouleversements géopolitiques engendrés par le Covid-19.
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LE FIGARO. – Le système international va-t-il résister au virus?
Thierry DE MONTBRIAL. – Tous les commentateurs, avant même que soit passée l’épreuve, évoquent l’après et l’avant coronavirus. Philosophiquement, l’instant présent, pourtant, n’existe pas. Il est plutôt une zone de recouvrement entre un passé qui continue et un avenir qui s’amorce. Il n’y a jamais vraiment de rupture. La pandémie ne va pas transformer le système international mais plutôt accélérer certaines tendances déjà à l’œuvre. La plus fondamentale d’entre elles, depuis la fin du XXe siècle, est la compétition sino-américaine. Tout le reste tourne autour de cet axe central, même la Russie de Vladimir Poutine. Ce fait majeur a été accentué d’abord par l’arrivée de Donald Trump à la Maison Blanche, puis par la pandémie.
Pensez-vous que la Chine et les États-Unis risquent un conflit armé?
C’est une question essentielle, qui fait référence à ce que le politologue américain Graham Allison appelle le « piège de Thucydide » selon lequel, historiquement, quand un système international est brusquement déstabilisé par l’émergence d’une nouvelle puissance, cela se termine souvent par une guerre. Je pense néanmoins que ce ne sera pas le cas à court ou moyen terme, car personne ne le veut. Le seul danger concret est lié à Taïwan. Depuis plus de deux mille ans, toutes les dynasties chinoises se sont fondées sur un principe : ne jamais céder un pouce du territoire national. Alors oui, si Taïwan prenait une décision brutale et déclarait son indépendance, les autorités chinoises pourraient prêtes à prendre des risques considérables. Pour le reste, les Chinois ne sont pas encore prêts.
Quand le seront-ils?
Les réformes initiées par Deng Xiaoping à partir de 1979 font penser à l’ère Meiji au Japon après 1868. Un siècle plus tard, les Chinois se sont inspirées des mêmes principes. Lorsqu’au XIXe siècle les Occidentaux ont pris position en Extrême-Orient, comme on disait alors, pour y développer leur commerce, ils l’ont fait par la diplomatie de la canonnière, c’est-à-dire par le feu et le sang, en humiliant la Chine. Hong Kong a été cédé à l’Angleterre dans le cadre d’une défaite chinoise. Les Japonais avaient compris qu’en restant immobiles ils perdraient face aux Occidentaux. Ce fut le génie des réformes Meiji : d’abord, épouser temporairement les Occidentaux pour apprendre d’eux. Puis les dépasser sur leur propre terrain. C’est ce que sont en train de faire les Chinois. Mais dans la Chine d’aujourd’hui comme dans le Japon d’hier, il faut un environnement international paisible pour assurer le développement économique. La Chine affiche désormais sa volonté de puissance. Mais son objectif est 2049, le centième anniversaire de la République Populaire. Aujourd’hui, elle n’est pas prête à se mesurer avec les Etats-Unis.
Dans quelle direction voyez-vous partir les États-Unis?
L’image des Etats-Unis s’est encore plus dégradée pendant la crise. Malgré cela, Donald Trump conserve de sérieuses chances d’être réélu. Mais les Américains sont très divisés et je n’exclus pas une crise majeure dans les dix ou vingt ans qui viennent. La tendance du « repli américain » sur ses intérêts étroitement conçus se poursuivra. Il ne faut pas s’attendre à des changements importants au sein de l’OTAN, qui existe encore trente ans après la disparition de l’URSS parce qu’elle est la seule organisation politique qui rapproche encore les Etats-Unis et l’Europe. Aux yeux des Américains, elle reste un instrument de puissance, principalement dans le cadre de la concurrence avec la Chine. Aujourd’hui, la question russe est secondaire. La Russie est devenue l’épouvantail indispensable pour maintenir l’OTAN en vie sans avoir besoin de mentionner la Chine.
L’UE est-elle menacée de désagrégation?
Si l’UE a résisté jusqu’ici à de si nombreuses crises, c’est parce que dans les moments de vérité, les minuit moins cinq qu’adore Angela Merkel, il y a toujours eu une réaction de survie. C’est dans ces moments qu’on prend conscience que la destruction de l’UE serait une catastrophe pour tous ses membres et même pour le monde entier. C’est dans ces moment-là qu’on retrouve les évidences, comme le couple franco-allemand, ainsi qu’on vient encore de le voir la semaine dernière.
« Je deviendrais vraiment inquiet pour l’Europe si les populismes, après avoir beaucoup progressé en Europe, se renforçaient à leur tour en Allemagne, à tel point qu’on pourrait envisager l’élection d’un équivalent de Marine Le Pen. »
On n’en est pas là et je ne vois pas de danger immédiat.
Quel avenir pour les organisations internationales?
C’est une question clé, car elle est au cœur du multilatéralisme. Qu’est-ce que le multilatéralisme, sinon une méthode pour des négociations qui s’appuient sur des organisations, afin que le long terme ne passe pas à la trappe et que les décisions prises soient suivies d’effet ? Encore faut-il bien poser la question. On fait comme si le multilatéralisme avait existé sur le plan mondial, ce qui n’a jamais été le cas. Il a été mis en place par les Etats-Unis après 1945 pour structurer l’ordre américain. Le multilatéralisme a donc été fondamentalement occidental. A mesure que la Chine a commencé à se développer, elle a voulu faire évoluer les règles de décision dans les organisations internationales. C’est ce que font tous les nouveaux entrants dans un système. La montée de la Chine a provoqué des jeux de puissance et des conflits d’intérêts pour la répartition du pouvoir. Le covid-19 a été l’occasion d’une prise de conscience.
« Aujourd’hui, c’est le moment de vérité. Les Occidentaux sont-ils prêts à admettre que le monde doit faire l’objet d’une gouvernance organisée, mais pas seulement dans le camp des démocraties ? Si la vision est écartée pour des raisons idéologiques, l’alternative sera un monde encore très interdépendant mais non organisé, dans lequel les conflits pourront dégénérer, très vite, au niveau économique et seulement après au niveau politique d’où, alors, le risque de guerre. »
Mais pour conclure sur une note plus optimiste, je dirais que l’idée majeure de la construction européenne reste basée sur le fait que tout le monde a peur d’aller ensemble dans le fossé. Une pandémie, c’est un peu pareil, ça secoue toute la planète. Or, comme dit un proverbe africain : « Celui qui voit une panthère et celui qui en entend parler ne courent pas à la même vitesse ».
Copyright Le Figaro / Isabelle lasserre
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Quelle sont les villes françaises où on paie le plus l’impôt sur le revenu ? A l’inverse quelles sont celles où on le paie le moins ?A partir de données de l’Insee (2015), Capital.fr dresse la liste des communes.
En ce début juin, vous venez de déclarer vos revenus pour l’année 2018. Et c’est connu, l’impôt sur le revenu est acquitté en France par moins d’un foyer fiscal sur deux. Cet impôt progressif, qui rapporte environ 70 milliards d’euros par an à l’Etat, va être légèrement adouci pour les Français les plus modestes par le gouvernement d’Edouard Philippe. Le barème des premières tranches devrait être corrigé. A partir des données statistiques de l’Insee les plus récentes (2015), découvrez quelles sont les villes de plus de 50.000 où on s’acquitte le plus de l’impôt et celles au contraire où il est le moins payé.
*Le niveau de vie médian évoqué dans les vignettes correspond au revenu disponible par ménage. Selon l’Insee, le revenu disponible d’un ménage comprend “les revenus d’activité (nets des cotisations sociales), les revenus du patrimoine, les transferts en provenance d’autres ménages et les prestations sociales (y compris les pensions de retraite et les indemnités de chômage), nets des impôts directs”Photo 1/32© Frédéric Soltan / Getty Images
C’est dans le fief de l’ancien président Nicolas Sarkozy que la part des ménages qui paient l’impôt sur le revenu est la plus importante des villes françaises de plus de 50.000 habitants. Près de 8 foyers fiscaux sur 10 s’acquittent de l’IR à Neuilly-sur-Seine. Dans cette ville bourgeoise des Hauts-de-Seine, la moitié des habitants gagne plus de 43.350 euros net par an. Un chiffre, supérieur de 13.000 euros, à la ville voisine et sociologiquement proche, Rueil-Malmaison. (source : Insee, 2015)Photo 2/32© Daniel.Candal / Getty Images
Dans cette commune des Hauts-de-Seine, 78% des foyers fiscaux sont soumis au paiement de l’impôt sur le revenu. Au sein de la ville du maire Les Républicains, Patrick Ollier, le niveau de vie médian est de 30.061 euros par an (2.500 euros par mois). Il est supérieur à la moyenne nationale qui s’établit à 20.520 euros (1.710 euros par mois). (source : Insee, 2015)Photo 3/32© LBVII / Getty Images
Sous l’impulsion du maire UDI André Santini, Issy-les-Moulineaux a connu un fort développement ces dernières décennies. Constructions, implantations d’entreprises… Située au sud-ouest de la capitale, la commune accueille toujours plus de familles de la classe moyenne et supérieure. Et cela se voit en chiffres : près de 8 foyers fiscaux sur 10 sont redevables de l’impôt sur le revenu. En parallèle, le taux de pauvreté est contenu à 8% dans la commune contre 14% pour la moyenne nationale. Ce qui signifie que seuls 8% des habitants vivent avec moins de 1.026 euros par mois – qui correspond à 60% du revenu médian ( 1.710 euros par mois). (source : Insee, 2015)Photo 4/32© JulientFromentin@ / Getty Images
La commune du candidat malheureux Les Républicains aux élections européennes François-Xavier Bellamy figure en haut du classement. A Versailles, plus de 7 foyers fiscaux sur 10 paient l’impôt sur le revenu. Un chiffre qui n’est guère surprenant dans la ville de Louis XIV où le niveau de revenu est élevé. (source : Insee, 2015)Photo 5/32© Denis Cheyrouze / Getty Images
Située à la bordure ouest de Paris, Boulogne-Billancourt accueille la classe moyenne supérieure. Fiscalement, 77% des foyers sont assujettis à l’impôt sur le revenu. Dans le même temps, 10% des habitants sont touchés par la pauvreté. Tout de même dans la commune, plus de la moitié des habitants ont un niveau de vie supérieur à 31.268 euros par an. (source : Insee, 2015)Photo 6/32© Virginie Blanquart / Getty Images
Le nom de Levallois-Perret est indissociable de celui de son maire, l’inénarrable Patrick Balkany. Sous ses différentes mandatures, la ville a beaucoup évolué. Elle accueille désormais une population aisée. Et cela s’en ressent sur les statistiques. Le niveau de vie médian s’établit à 30.504 euros. Et plus de 76% des foyers sont soumis à l’impôt sur le revenu. (source : Insee, 2015)Photo 7/32© Halbergman / Getty Images
Cette ville cossue du Val-de-Marne abrite plus de 32.000 foyers fiscaux. Et plus de 75% d’entre eux sont soumis à l’impôt sur le revenu. Un chiffre qui classe Saint-Maure-des-Fossés dans le top 10 des villes de plus de 50.000 habitants où l’on paie le plus l’impôt. En revanche, le niveau de vie médian est inférieur à 30.000 euros par an (28.787 euros par an). (source : Insee, 2015)Photo 8/32© Jean-Claude Théas / EyeEm
A l’instar de sa voisine Puteaux, Courbevoie bénéficie de la proximité du quartier d’affaires de La Défense. Dans cette ville des Hauts-de-Seine, qui accueille beaucoup de familles de cadres, plus de 70% des 38.000 foyers fiscaux versent l’impôt sur le revenu. (source : Insee, 2015)Photo 9/32© David Briard / Getty Images
Moins connue que certaines villes des Hauts-de-Seine, Antony est une ville de la classe moyenne. Plus de 75% des foyers fiscaux paient l’impôt sur le revenu. A titre de comparaison, le niveau de vie médian est de 15.000 euros inférieur (28.777 euros par an) à celui des habitants de Neuilly-sur-Seine (43.350 euros par an). (source : Insee, 2015)Photo 10/32© Esstelle Ruiz / NURPHOTO / AFP
Célèbre pour son école vétérinaire, Maisons-Alfort, située dans le Val-de-Marne, conclut le top 10 des villes de plus de 50.000 habitants où l’on paie le plus l’impôt. 72% des 24.000 foyers fiscaux sont assujettis à l’impôt sur le revenu. Le niveau de vie médian y est aussi le plus faible du classement : 24.329 euros par an. Et le taux de pauvreté est le seul des 10 villes à franchir la barre des 10%. (source : Insee, 2015)Photo 11/32© Adjiage Catherine / EyeEme / Getty Images
Limitrophe de la commune d’Issy-les-Moulineaux, la ville de Clamart à l’ouest de Paris fait partie du top 15 des villes de plus de 50.000 habitants où la part des foyers fiscaux imposés est la plus importante. À Clamart, 72% des ménages paient l’impôt sur le revenu. (source : Insee, 2015)Photo 12/32© Gilles Targat / AFP
La moitié des Parisiens vivent avec plus de 26.431 euros par an. La ville de la maire PS Anne Hidalgo affiche le score de 71% de foyers fiscaux redevables de l’impôt sur le revenu. Dans la capitale, le taux de pauvreté est de 16%. (source : Insee, 2015)Photo 13/32© Free-Photos / Pixabay
Située à l’intérieur d’un méandre de la Seine, au nord ouest de la capitale, Asnières-sur-Seine compte 68% de ses ménages qui sont soumis à l’impôt sur le revenu. Malgré ce taux élevé, le niveau de vie médian n’est que de 23.775 euros par an. C’est-à-dire un peu supérieur à la moyenne nationale (20.520 euros). (source : Insee, 2015)Photo 14/32© Serge Sautereau / Getty Images
La ville de Satrouville est située dans le département des Yvelines à quelques encablures de la fôrêt de Saint-Germain-en-Laye. Parmi les 21.000 ménages fiscaux qu’elle compte, près de 7 sur 10 paient l’impôt sur le revenu. (source : Insee, 2015)Photo 15/32© Tripelon-Jarry / AFP
Le niveau de vie médian des ménages de cette commune du Val-de-Marne, qui borde le bois de Vincennes, est de 22.572 euros par an. En dépit d’un taux de pauvreté dans la moyenne nationale (15%), la ville compte 66% de ses foyers fiscaux qui paient l’impôt sur le revenu. (source : Insee, 2015) Photo 16/32© Lionel Bonaventure / AFP
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Proche de la frontière espagnole, la ville de Perpignan est une grande ville abrite plus de 120 000 habitants. Dans cette cité des Pyrénées-Orientales, 4 ménages fiscaux sur 10 sont asujettis à l’impôt sur le revenu. Par ailleurs, malgré une position géographique stratégique avec la ville de Barcelon en point de mire, le niveau de vie médian des Perpignanais est assez bas : 16.000 euros par an. En dessous de la moyenne nationale, 20.520 euros par an. Photo 18/32© Parsudmedimmo / Pixabay
Connue pour son multiculturalisme, la ville de Sarcelles, située dans le Val-d’Oise, compte 4 ménages fiscaux sur 10 qui sont redevables de l’impôt sur le revenu. A Sarcelles, le niveau de vie médian est très inférieur à la moyenne nationale (14.911 euros par an) contre 20.520 euros dans l’Hexagone. (source : Insee, 2015)Photo 19/32© Serge Attal / Only France / AFP
La ville du ministre de l’Action et des Comptes publics, Gérald Darmanin, ne compte que 4 ménages fiscaux sur 10 qui s’acquittent de l’impôt sur le revenu. Dans cette ville du nord de la France, voisine de la métropole lilloise, le niveau de vie médian est inférieur à la moyenne nationale (16.349 euros par an). (source : Insee, 2015)Photo 20/32© Franck CRUSIAUX / Getty Images
La capitale de la Martinique compte plus de 34 000 foyers fiscaux. Pami eux, seuls 38% sont assujettis à l’impôt sur le revenu. La moitié des 82 000 habitants de Fort-de-France vivent avec moins de 17.000 euros par an. Par ailleurs, le taux de pauvreté atteint les 30%. (source : Insee, 2015) Photo 21/32© Henderbeth / Pixabay
La ville côtière de la Manche, symbole de la crise des migrants, abrite 75.000 habitants. Le niveau de vie médian est en dessous de la moyenne nationale et ne dépasse pas les 16.000 euros par an. Moins de 4 Calaisiens sur 10 sont redevables de l’impôt sur le revenu. (source : Insee, 2015)Photo 22/32© Bloomberg / Getty Images
Parmi les villes où l’on paie le moins l’impôt sur le revenu figure Saint-Denis, l’une des communes les plus importantes du département de la Seine-Saint-Denis. Parmi les 56.000 foyers fiscaux, on en dénombre seulement 37% qui sont assujettis à l’IR. À Saint-Denis, le niveau de vie médian est très largement inférieur à la moyenne nationale. Il plafonne à 15.972 euros. (source : Insee, 2015)Photo 23/32© Gerd Scheewel / Getty Images
La ville du médiatique maire d’extrême-droite Robert Ménard ne se distingue par par son nombre de foyers fiscaux qui paient l’impôt sur le revenu. Comme à Saint-Denis, moins de 4 foyers sur 10 sont redevables de l’IR. Un chiffre plutôt faible dans cette ville de 75.000 habitants située dans l’Hérault. Par ailleurs, 34% des habitants vivent sous le seuil de pauvreté. C’est-à-dire avec moins de 1.026 euros par mois. (source : Insee, 2015)Photo 24/32© parpalikaojm / Getty Images
A l’instar de sa voisine Saint-Denis, la commune de Bobigny, préfecture de Seine-Saint-Denis, fait partie des villes françaises de plus de 50.000 habitants où l’on paie le moins l’impôt. Moins de 4 foyers fiscaux sur 10 s’acquittent sont soumis à l’impôt sur le revenu. Et la moitié des habitants vivent avec moins de 14.192 euros par an contre 20.520 euros pour la moyenne nationale. (source : Insee, 2015)Photo 25/32© Xavier Testelin / Getty Images
Située sur la côte ouest de l’île de la Réunion, Saint-Paul est une ville de 105.000 habitants au sein de laquelle seulement 36% des foyers fiscaux s’acquittent de l’impôt sur le revenu. En parallèle, plus de 3 habitants sur 10 vivent en-dessous du seuil de pauvreté. (source : Insee, 2015)Photo 26/32© VWPics / Getty Images
En lisière nord de Paris, la commune d’Aubervilliers est frappée par un taux élevé de pauvreté. La moitié des habitants de la ville vivent avec moins de 13.039 euros par an. Un tiers seulement des foyers fiscaux de la ville sont soumis à l’impôt sur le revenu. Un chiffre parmi les plus faibles des villes de plus 50.000 habitants. (source : Insee, 2015)Photo 27/32© Xavier Testelin / Getty Images
Ville portuaire, située au sud de l’île de la Réunion, Saint-Pierre ne compte qu’un tiers de ses foyers fiscaux soumis à l’impôt sur le revenu. Un chiffre assez faible dans cette ville de 84.000 habitants. En parallèle, le niveau de vie médian plafonne à 14.038 euros par an. (source : Insee, 2015)Photo 28/32© DEA / C.SAPPA / Getty images
Cette grande ville du nord de l’Hexagone, 96.077 habitants, est aussi l’une des plus pauvres de France. Près de 5 habitants sur 10 vivent en-dessous du seuil de pauvreté. Et moins d’un tiers des foyers fiscaux roubaisiens sont assujettis à l’impôt sur le revenu. (source : Insee, 2015)Photo 29/32© Blom / Getty Images
Voisine de Saint-Pierre, la commune de Le Tampon à La Réunion est située à l’intérieur des terres. Avec ses 77.000 habitants, elle est l’une des plus importantes de l’île. Elle est également l’une des villes de plus de 50.000 habitants où la part des foyers fiscaux soumis à l’impôt sur le revenu est la plus faible. Elle stagne à 27%. Dans ce contexte, le niveau de vie médian ne dépasse pas 14.000 euros par an. (source : Insee, 2015)Photo 30/32© Loop Images / Getty Images
A l’extrémité nord-est de l’île de la Réunion, Saint-André compte seulement un peu plus de 25% de ses foyers fiscaux qui paient l’impôt sur le revenu. Le taux de pauvreté atteint presque 50%. (source : Insee, 2015)Photo 31/32© Loop Images / Getty Images
C’est une autre commune de La Réunion qui arrive dans le bas du classement. A Saint-Louis, ville de 53.000 habitants, voisine de Le Tampon, seuls un peu plus de 2 ménages fiscaux sur 10 sont redevables de l’impôt sur le revenu. Un chiffre qui va de pair avec un niveau de vie médian très faible. La moitié des habitants vit avec moins de 12.485 euros par an. (source : Insee, 2015)Photo 32/32© IMAZ PRESS / Getty ImagesFiscalité : paie-t-on trop d’impôts en France ? Deux économistes s’affrontent sur le plateau du “Débat Capital”
Tous les mois, la grande famille Akra de France organise une grande réunion familiale pour renforcer si nécessaire, les liens de fraternité et de convivialité qui unissent les membres notables de cette famille.
La famille Akra est une famille phare à tous égards dans la Grande Communauté Djikiyeu de France. Nul ne sera étonné des prochaines décisions qui sortiront de sa besace et qui porteront le seau de la réalisation effective.
Reportage & Gallerie Images : Atdt. Akra Djina,
Agathe Dahyot, Maxime Vaudano, Adrien Sénécat Il y a 3 heuresL’identité de Macron usurpée par 2 individus Une nouvelle «maison de l’horreur» en Espagne
Les Décodeurs ont fait le tour des prestations sociales alors que les intox à ce sujet reviennent dans le débat.
La question des prestations sociales versées aux immigrés fait depuis longtemps partie des sujets de polémique privilégiés du débat politique français.
Mais elle a retrouvé une actualité brûlante à l’occasion de la campagne lancée récemment par Marine Le Pen et les cadres du Rassemblement national (RN), qui tentent à grands coups d’intox d’imposer l’idée qu’un migrant fraîchement arrivé serait mieux loti qu’un retraité français modeste.
Pour y voir plus clair, Les Décodeurs dressent le tableau des principales aides auxquelles peuvent prétendre les migrants en France.
© Le Monde
• Aucune prestation ne leur est proposée.
• Ils peuvent bénéficier d’une allocation de demandeur d’asile (ADA) pendant toute la durée du traitement de leur dossier (entre cinq et neuf mois en moyenne).
Cette allocation de 207 euros par mois permet d’assurer leur subsistance et de compenser l’interdiction qui leur est faite de travailler légalement avant un délai de six mois (même si certains peuvent travailler au noir).
Le versement de l’ADA s’arrête à la fin de la procédure de demande d’asile (quelle qu’en soit l’issue). Il peut aussi être suspendu de façon anticipée en cas de fraude ou de manquement à la loi de la part du bénéficiaire (par exemple un comportement violent).
• A partir de 25 ans, ils peuvent prétendre au revenu de solidarité active (RSA) au bout de cinq ans de présence en France (ce délai est supprimé pour les titulaires d’une carte de résident, les réfugiés et les immigrés européens de longue durée, qui peuvent le toucher immédiatement).
Le RSA s’élève à 551 euros par mois, mais il ne peut pas se cumuler avec d’autres aides.
Sur 1,88 million d’allocataires du RSA en décembre 2017, 16 % étaient étrangers, selon le gouvernement.
• Un étranger de plus de 65 ans peut bénéficier de l’allocation de solidarité aux personnes âgées (ASPA, ex-minimum vieillesse), d’un montant maximal de 868 euros par mois.
Pour la recevoir, il doit respecter les mêmes conditions que les Français (revenus annuels inférieurs à 9 998 euros). Il doit toutefois préalablement résider en France de manière régulière depuis au moins dix ans (ce délai est supprimé pour les réfugiés, qui peuvent le toucher immédiatement).
Environ un tiers des bénéficiaires de cette aide sont de nationalité étrangère.
• Il existe 10 minima sociaux en France, qui correspondent à des publics spécifiques.
• Le plus universel d’entre eux est le revenu de solidarité active (RSA) : une allocation de 551 euros par mois versée à 2,5 millions d’allocataires de plus de 25 ans sous conditions de ressources.
• L’allocation adulte handicapé (AAH), versée à plus d’un million de bénéficiaires, s’élève à 860 euros par mois.
• L’allocation de solidarité aux personnes âgées (ASPA, ex-minimum vieillesse), versée à un peu plus d’un demi-million de retraités de plus de 65 ans, s’élève à 868 euros par mois.
• Ils peuvent bénéficier d’une prise en charge gratuite des principaux soins médicaux au titre de l’aide médicale d’Etat (AME). Tous les frais qui dépassent le plafond « Sécu » (par exemple pour les soins optiques ou dentaires) restent à leur charge.
L’AME est théoriquement réservée aux immigrés présents depuis trois mois en France et sous condition de ressources, mais ces critères sont difficiles à vérifier dans les faits. Cependant, la fraude a un effet limité sur le coût du dispositif, selon un rapport parlementaire de 2011. Quelque 300 000 clandestins en bénéficient.
L’AME a une vocation humanitaire, en prenant en charge les soins vitaux de personnes démunies. Mais c’est aussi un enjeu de santé publique : ne pas traiter ces patients pourrait favoriser la propagation d’affections contagieuses, comme la tuberculose.
• La protection universelle maladie (PUMA, ex-CMU) leur permet de bénéficier gratuitement de la part remboursée par la Sécurité sociale, à l’instar des Français du régime général.
• Ils ont également accès gratuitement à la CMU complémentaire pour financer les restes à charge.
• S’ils n’ont pas d’emploi, et donc pas d’affiliation à la Sécurité sociale, les étrangers peuvent bénéficier de la protection maladie universelle (PUMA, ex-CMU), qui prend en charge la part remboursée par la Sécurité sociale.
• Au bout de trois mois de présence en France, et sous condition de ressources, ils peuvent aussi être couverts par la CMU complémentaire pour les restes à charge.
• Si leurs revenus se situent juste au-dessus du plafond de la CMU complémentaire, ils peuvent recevoir une aide au paiement d’une complémentaire santé (ACS).
• S’ils n’ont pas d’emploi, et donc pas d’affiliation à la Sécurité sociale, les Français peuvent bénéficier de la protection maladie universelle (PUMA, ex-CMU), qui prend en charge la part remboursée par la Sécurité sociale.
• Sous condition de ressources, ils peuvent aussi être couverts par la CMU complémentairepour les restes à charge.
• Si leurs revenus se situent juste au-dessus du plafond de la CMU complémentaire, ils peuvent recevoir une aide au paiement d’une complémentaire santé (ACS).
• Ils peuvent théoriquement bénéficier de l’hébergement d’urgence au même titre qu’un autre résident en France.
• Plusieurs types de structures peuvent les héberger le temps de l’examen de leur demande d’asile (entre cinq et neuf mois en moyenne). Il s’agit principalement de centres d’accueil spécialisés (les CADA), mais aussi d’hébergements d’urgence.
Dans tous les cas, cette situation est difficilement comparable avec le fait d’être locataire ou propriétaire d’un logement traditionnel. Les personnes hébergées en CADA sont par exemple parfois amenées à partager certaines pièces de vie avec d’autres personnes ou familles.
• Les adultes qui n’ont pas de place d’hébergement reçoivent une allocation de 225 eurospar mois pour se loger.
• Ils peuvent bénéficier des aides au logement (APL, ALF et ALS), demander un logement social et faire valoir leur droit au logement opposable au même titre que les Français, sous condition de ressources.
Environ 14 % des logements sociaux sont attribués à des étrangers hors Union européenne.
• Ils peuvent aussi bénéficier de l’hébergement d’urgence au même titre qu’un Français.
• Ils peuvent bénéficier des différentes aides au logement (APL, ALF et ALS), demander un logement social et faire valoir leur droit au logement opposable, sous condition de ressources.
Environ 80 % des logements sociaux sont attribués à des Français.
• Les plus démunis ont en principe accès à un parc d’hébergement spécifique (places d’allocation logement temporaire, hébergement d’insertion…).
• Aucune prestation ne leur est proposée.
• Le montant de l’allocation de demandeur d’asile (voir plus haut) varie en fonction de la taille de la famille. Cela représente environ 100 euros par mois de plus par personne supplémentaire dans le foyer.
• Ils peuvent bénéficier des allocations familiales au même titre que les Français, à condition que leurs enfants vivent avec eux en France.
• Les citoyens français dont le foyer comporte au moins deux enfants peuvent bénéficier des allocations familiales.
• Certains peuvent bénéficier de facilités pour les transports dans certaines villes ou régions.
Par exemple, en Ile-de-France, quelque 115 000 clandestins affiliés à l’aide médicale d’Etat ont le droit à une réduction tarifaire de 75 %, comme les Français modestes.
• Ils peuvent bénéficier de facilités dans certaines villes ou régions.
Par exemple, en Ile-de-France, ils ont le droit à une réduction tarifaire de 75 %, comme les Français modestes, à condition d’être affiliés à la CMU complémentaire.
• Les plus modestes peuvent généralement bénéficier des tarifs sociaux pour les transports offerts par les villes ou les régions, au même titre que les Français.
Par exemple, en Ile-de-France, ils ont le droit à une réduction tarifaire de 75 %, à condition d’être affiliés à la CMU complémentaire.
• Certaines villes ou régions proposent des tarifs sociaux pour les transports aux personnes les plus modestes.
Par exemple, en Ile-de-France, elles ont le droit à une réduction tarifaire de 75 %, à condition d’être affiliées à la CMU complémentaire.
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Ouest-France / L’édition du soir / Alimentation / lundi 21 janvier 2019
ACTUALITÉLes enseignes de restauration rapide ne sont pas près de disparaître : c’est la conclusion qu’on pourrait tirer de ce classement réalisé par le site My-Pharma.info, qui répertorie les villes comptant le plus de fast-foods par rapport au nombre d’habitants.
Le site My-Pharma.info, spécialisé dans l’information de la santé (LIEN), s’est livré pour la 4e année consécutive à un classement des villes les plus touchées par la malbouffe en France. Pour ce faire, la rédaction de My-Pharma, qui compte notamment des médecins, a recensé dans les 32 plus grandes villes françaises la présence des restaurants de 16 chaînes de fast-foods : McDonald’s, Quick, Burger King, KFC, Paul, La Brioche Dorée, Domino’s Pizza, Subway, La Mie Câline, Starbucks, La Croissanterie, Pizza Hut, Pomme de pain, O’tacos, Bagelstein, et Speed Burger. My-Pharma a calculé la densité de fast-foods pour 1 000 habitants et a pu établir un classement.
Pour la rédaction de My-Pharma, « la particularité de ces aliments servis en restauration rapide est qu’ils sont pauvres en sources nutritives comme les fibres végétales et les vitamines, mais riche en gras, en sel, en sucre et autres produits chimiques ». Et précise que « ce classement n’a pas pour but de pointer du doigt les habitudes de consommation, mais en toute transparence de questionner le rôle de ces enseignes dans nos habitudes de consommation ».
Selon leur classement, voici les dix villes les plus touchées par la malbouffe :
10- Aix-en-Provence
Aix-en-Provence a perdu 6 places par rapport en 2018, avec 23 fast-foods contre 25 l’an dernier.
9- Lille
À Lille, la densité de restaurants pour 1 000 habitants est de 0,1635. Au total, la ville compte 38 fast-foods.
8- Angers
Angers descend à la huitième place (contre la 2e dans le classement 2018) avec la présence de 27 fast-foods pour environ 150 000 habitants.
7- Perpignan
Perpignan garde sa 7e place, avec 20 fast-foods, atteignant une moyenne de 0,1723 fast-food pour 1 000 habitants.
6- Limoges
Limoges affiche un score de 0,1734 fast-food par millier d’habitants, avec 23 restaurants de ces enseignes pour 132 000 habitants.
5- Paris
Paris n’arrive que cinquième malgré ses 391 enseignes de restauration rapide, avec 0,1785 fast-food pour 1 000 habitants. La capitale compte principalement des McDonald’s (66), des Starbucks (50) et des Subway (49).
4- Brest
Brest est la ville bretonne la plus touchée par la malbouffe avec 25 fast-foods pour 139 000 habitants.
3- Tours
9e en 2018, Tours arrive cette année à la 3e position avec notamment l’ouverture de deux restaurants O’Tacos, portant le nombre total de fast-food à 25 pour 136 000 habitants.
2- Metz
Metz a vu le nombre de fast-foods passer de 16 à 22 et obtient un score de 0,1866 fast-food pour 1 000 habitants, hissant ainsi la ville sur la deuxième marche du podium.
1- Bordeaux
« Gagnante » depuis la première édition de ce classement, il y a quatre ans, Bordeaux, qui compte 54 fast-foods, continue d’offrir à ses habitants la plus forte densité de chaînes de restauration rapide pour 1 000 habitants avec un score de 0,2143. Les principales enseignes présentes dans la ville sont McDonald’s et Paul.
La grande famille vigo et tous les zikié de France ont la profonde douleur de vous annoncer le décès de leur doyen, père,grand père Monsieur Younous ( Inoussant ) DJOHORE Gnadou survenu le dimanche 20 août 2017 à Paris à l’âge de 74 ans.
Pour ceux qui souhaiteraient lui rendre un dernier hommage, la mise en bière aura lieu le vendredi 25 août 2017 de 09h à 10h à la chambre mortuaire de l’hôpital Pitié Salpêtrière Paris 13 ème arrdt.
Adresse 22 rue Bruant 75013 Paris
Métro Place d’Italie
A faire suivre svp.
Laurent Ourega, Vice president de L’ARDSPF et le bureau.