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Suite à l’article dans lequel j’ai rendu hommage à madame Solange Zokou pour avoir très tôt compris qu’il ne fallait pas envoyer notre contribution au comité d’organisation, mon homonyme, le président du PIP (Parti Ivoirien du Peuple) a, à l’instar de bien d’autres qui pensent comme elle , mon homonyme Gnadou Dano Zady dis-je, a mis l’accent sur cette “faute” pour laquelle j’ai présenté mes regrets. Je fais donc cette publication aux fins d’éclairer mes lecteurs sur ce sujet une fois pour toutes.
Je pense pour ma part qu’on devrait s’abstenir de trop m’accabler concernant cette affaire, car si le comité a utilisé nos 2.705.000 cfa comme on le constate, la vraie faute a été commise au départ, et non par votre serviteur, mais par ceux qui avaient imposé le président du CO sans tenir compte des principes de la démocratie. En effet, souvenez-vous que notre président n’avait pas été élu comme il se doit en pareille circonstance. J’étais malheureusement tout seul à m’opposer à cet état de fait, et j’avais dû m’incliner face au silence de ceux sur qui j’avais compté comme soutiens et face à la grogne des jeunes qui s’agaçaient de ma position. Pourquoi donc, à partir de cet instant, aurais-je voulu que notre argent ne lui soit pas envoyé? Pourquoi, toi atokpa, ne m’avais-tu pas soutenu au moment où je protestais contre son imposition par le chef central avec la complicité du président de la mutuelle? Je demande qu’on soit serein sur ce sujet, et qu’on partage la responsabilité de cette affaire dont je reconnais ma part, et qu’on en tire la leçon idoine pour avancer. Je te salue, président. Alain Zadi DjegoueLA DÉSILLUSION ET LA COLÈRE DE NOS PARENTS.
Comment peut-on confier un boeuf à celui qui ne s’est jamais occupé d’un poussin? Voilà la question que se posent aujourd’hui la population de djidji qui constate avec indignation que sa fête annoncée avec tant de boucan a définitivement échoué.
Depuis que notre fête avait connu ce non -lieu l’année dernière, la majorité de la diaspora en avaient fermé la page , tellement ils savaient que le choix des membres du comité d’organisation portait en lui même le germe de cet échec.
Honnêteté oblige, je suis de ceux qui ont involontairement contribué à cet échec, que dis-je, à cette honte historique, et je suis donc prêt à présenter de la manière la plus humble et la plus digne, mes excuses à mes camarades de l’ARDSPF que j’avais obstinément refusé d’écouter.
Oui, j’accepte ma part de responsabilité de cette grande désillusion honteuse pour avoir fait confiance à un président du comité d’organisation dont j’avais pourtant contesté le mode de désignation.
Très prochainement, je vous livrerai le récit de cette débâcle historique. .
Bonne journée.
Djidji est en proie à de fortes turbulences depuis son érection tardive en sous-préfecture. Certains considéreront cela comme une crise d’adolescence. Cela n’étonne guère les observateurs avisés. La sous-préfecture de Djidji vit actuellement une ère de juvénilité passagère faite de soubresauts par une série d’avalanches programmatique de dates festives à l’honneur de la sous-préfète N’goua Chantal à qui les ressortissants de cette sous-préfecture de Djidji, souhaiteraient rendre un grand bel hommage pour avoir été le premier sous-préfet du pays de Djidji.
Dates programmées dans la passion et non finalement respectées et pour cause, nous avons du mal à accorder nos violons, des difficultés à travailler ensemble, en fondamentale synergie.
Tout cela est déplorable, ubuesque ou kafkaïen : faisant de nous, la risée aux yeux du monde. Je le regrette profondément. Mais il n’y a pas de raison de désespérer, tout cela s’inscrivant dans la marche normale de toute progression humaine durable. Les débuts étant toujours difficiles et pénibles.
J’invite mes frères et soeurs à se retrouver, se respecter, se parler et à travailler ensemble dans la considération des compétences des uns et des autres et de l’intérêt général pour la réalisation de cette fête qui nous nargue de nos divisions conséquentes.
Maintenant, quelles solutions ?
A suivre,
Chers parents et amis de djidji.
C’est avec beaucoup de regrets, mais surtout avec un profond sentiment de fraternité et de solidarité à l’égard de nos frères et soeurs de la diaspora que j’interviens ce matin à l’issue de notre rencontre d’hier avec le chef du cabinet du parrain, monsieur le ministre des infrastructures économiques.
Les mots me manquent en effet, pour présenter à chacun de vous les excuses du comité que j’ai l’honneur et la fierté de diriger. Nous vous disons un grand
“A BODJÉ” pour les manquements que vous avez eu à constater et dont nous assumons humblement l’entière responsabilité.
Afin de préserver la cohésion qui nous est si chère, permettez moi de vous épargner ici certains détails que vous avez dû apprendre et qui fâchent, car nous vous en informerons plus amplement le temps venu.
Je mesure votre amertume et votre déception tant nous savons que bon nombre d’entre vous sont venus de très loin après avoir choisi leurs vacances en fonction de la date du 18 août 2017 initialement convenue, et que celle du 2 septembre 2017 annoncée vient encore d’être abandonnée vue le calendrier très chargé du parrain.
En définitive donc et de manière officielle, je vous annonce que notre fête tant attendue sera célébrée le 9 septembre 2017 PROCHAIN en présence du parrain.
Encore une fois, ” A BODJÉ”
Votre frère Jean-Louis Kobry, Président.
La fête en l’honneur de la sous-préfète (premier sous-préfet de la nouvelle sous-préfecture de Djidji) approche à grand pas. La population de toute la sous-préfecture s’active afin de procéder à son installation officielle et lui exprimer en même temps sa légendaire hospitalité depuis sa prise de fonction le 04/02/2017 à Djidji, chef-lieu de la sous-préfecture.
Ce sera alors, le 18 août 2017 !
Le soutien de djidji.org au Comité d’organisation et à toute action bienveillante allant dans le sens de la réussite de la fête.