Votre mot de passe vous sera envoyé.
Armel-Thomas Zatchi Bonjour à tous.
Chers lecteurs, je suis Armel Thomas Abya, président de la diaspora Djidji en France. Vous avez beaucoup lu sur moi cette semaine relatif au remboursement des 2 705 000 f cfa dépensés à d’autres fins par le président du comité d’organisation de la fête de Djidji sous-préfecture. Ces écrits qui m’accusent émanent de notre frère Alain Zadi Djegoue. Je réponds juste à son dernier post qui soutient que, je n’avais pas désigné un responsable du comité chargé de réclamer les 2 705 000 fcfa et je n’ai obtenu de décharge de reconnaissance du pco alors sur quelle base allons nous le poursuivre? Chers parents, je vous dis ma part de vérité aujourd’hui sur ce problème pour que tout le monde soit au même point d’information.
En effet, si nous voulons considérer l’aspect légal comme l’écrit Alain, reconnaissons qu’il n’y a pas eu de décret de nomination du pco. Et quand l’argent lui a été remis, il n’y a pas eu non plus de décharge. Donc il peut ne pas reconnaître les faits. A ma connaissance, il n’a jamais été question de poursuivre quelqu’un en justice. Chers parents, ici à Paris, concernant l’organisation de la fête de la sous-préfecture à Djidji en août 2017, nous avions mis notre plan de cotisations sur pied. Et les cotisations avaient commencé à rentrer. L’argent encaissé devrait être remis au petit comité de Paris par mon bureau à la dernière réunion afin de venir travailler avec le comité d’Abidjan. Et tout le monde était d’accord.
À un mois de la fête, j’apprends qu’il fallait envoyer tout l’argent à Abidjan sans passer par le comité de Paris, pour des raisons inavouées. Et le meneur de l’action c’était Alain Zady Djegoue. Tout l’argent est alors déposé à Abidjan aux mains du pco. Et monsieur a fait le java avec. Aujourd’hui, nous cherchons à sauver les meubles. Et j’ai dit, à la prochaine réunion de bilan, nous allons mettre un plan de sauvetage en place pour sauver la situation. Alors, cher ami Alain Zady, l’homme en qui tu avais cru capable de gérer les
2 705 000 fcfa de la sous-préfecture, c’est à lui que l’argent à été remis. Au moment venu, je te désigne d’office porte parole du prochain comité chargé de recouvrer les
2 705 000 fcfa dépensés par pco à des fins personnelles. Je crois qu’avec toi, ça ne sera peut-être pas trop compliqué de récupérer les sous parce que c’est toi qui avait voulu que cet argent lui soit envoyé. J’ai bon espoir que nous nous en sortirons à l’amiable. Personne ne sera poursuivie en justice. J’appelle tout le monde à l’apaisement.
Bonne journée à tous.
Fraternellement.
Armel Thomas Abya, président de Djidji sous-préfecture France.
COMMENTAIRES :
Gnazale Gnazale Ah les réseaux sociaux.
La cuisine interne se meurt.
LeBoys FeelGnazale Gnazale nous sommes en 2019 cher ami
Gnazale Gnazale Explicitement cela revient à dire que…
LeBoys FeelGnazale Gnazale tu vas beau te cacher mais sa va sortir donc vaut mieux faire les choses en toute transparence de nos jour on ne peut échapper aux réseaux sociaux surtout quand il s’agit d’un truc public
Gnazale Gnazale La solution est sur Facebook ?
Le président, Alain et les autres peuvent résoudre ce problème entre frères ( ce qui n’est pas synonyme de laisser le coupable)sans que nous qui sommes leurs amis ne soyons informés.
Il faut privilégier les confrontations d’idées physiquement autour d’une table. La solution devient pratique.
LeBoys FeelGnazale Gnazale il y a pas le feu ici c’est juste un rappel le président fait puisque c’est ici que s’avait débuté
Ne dramatisez pas les choses sans Facebook penses tu que toutes les infos tu as aujourd’hui de partout dans le monde te serait accessible surtout pour vous qui ne venez jamais au différente réunion ?
Gnazale Gnazale L’insuffisance des réseaux sociaux.
Nous n’y tenons pas nos réunions.
Nous convoquons les réunions via ces canaux donc c’est à nous d’y mettre ce qui nous honore et de gérer ce qui ternit notre collaboration en confrontations directes. En famille, partout où cela est possible, on peut traiter un mal quelle que soit sa gravité.
Ma position, c’est que les doyens et à travers eux tous nos frères de djidji règlent les différends frontalement.
Les réseaux sociaux doivent vraiment être évités pour des sujets aussi sensibles.
Voyez-vous, depuis des mois, ce sujet traîne sur Facebook mais rien n’y fit. Or, en séance plénière, des solutions pratiques seraient trouvées.
Vive djidji
Gnazale GnazaleLeBoys je ne suis pas de djidji.
Je suis de Niagbaméko.
A Niagbameko, on ne te dira jamais que je suis absentéiste.
J’interviens en tant que fils de Ziki
Je ne gagnerai rien à DRAMATISER les choses.
Au doyen Alain, j’ai déjà dit que les réseaux sociaux ne règlent pas tout et il le sait.
Je dis que des problèmes plus graves ici-bas ont été gérés avant l’avènement de R.S. alors n’en faisons pas notre chou gras.
Pour que la mutuelle de djidji règle ce problème, on n’a pas forcément besoin de Réseaux Sociaux.
LeBoys FeelGnazale Gnazale ah tu n’es pas de Djidji ok je comprends en tout cas chez nous à Djidji les fils et filles sont un peu partout dans le monde donc c’est par ce canal que toutes les informations passent que sa soit objective comme critique
Nous n’avons pas de cadres il faut bien que chaque enfant soit au parfum des réalités de chez nous pour mieux entreprendre une action de développement car ceux qui lavaient leur linge 🧺 sale dans la chambre nous ont rien apporté jusqu’aujourd’hui merci
cordialement
Gnazale Gnazale D’ACCORD1
Alain Zadi Djegoue Gnazale Gnazale Merci, mais le président Armel n’a insulté personne, moi non plus. Je l”ai mis sur le banc des accusés et il fallait qu’il s’expluque, et c’est ce qu’il a fait. C’est cela la démocratie. Rassure toi, il n’y aura jamais de conflit entre mon président et moi, car je me suis engagé à le soutenir jusqu’au bout avec ses defauts et ses qualités. Et au cours de ce mandat, je pense que ses qualités sont nettement dominants, et c’est tout à ma satisfaction.. En faisant ressortir ses erreurs, je veux vous montrer à vous qui soutenez les hommes politiques qu’il ne faut pas tout applaudir d’un chef. Sinon, il ne pensera jamais à s’améliorer. C’est parce que nos chefs d’Etat sont applaudis à tous les actes qu’ils posent qu’ils se sentent tout-puissants.
En conclusion, celui qui pense qu’il y a le feu entre mon président Thomas et moi n’aura rien compris de ma conception de la démocratie.
Salut petit frère et que Dieu te bénisse.
Gnazale Gnazale Merci.
J’ai aimé un pan son intervention que je paraphrase
A NOTRE PROCHAINE RENCONTRE, JE TE CHOISIRAI…
Si tel est que les rencontres sont possibles entre vous, traitez-y ce mal. Et soyez les ambassadeurs de la destination djidji
Alain Zadi Djegoue Oui, j’assume complètement mon mot d’ordre qui consistait à envoyer les cotisations au comité central, car c’est lui seul qui était connu comme le l’ organisateur de la fête. Je rappelle à tous mes lecteurs ma vive protestation qui avait suivi le mode de désignation du pco. J’étais tout seul contre tous. Non seulement je connaissais déjà son passé en matière de gestion, mais j’avais souhaité un vote auquel tous ceux qui voulaient briguer ce poste se présentent. Je n’avais pas été compris,:et comme je n’étais pas soutenu dans ma position, je m’étais incliné publiquement à travers une publication. À partir de cet instant, il n’y avait plus de raison qu’on ne fasse pas confiance au pco. C’est pourquuoi j’avais tempêté pour que cela soit et cela fut.
Quant au comité qui avait été formé par le président en 2017 travailker avec le comité central, je répète encore à qui veut l’entendre que le président aurait dû le laisser travailler. Au lieu de cela, c’était lui qui convoquait les réunions relatives aux cotisations, et c’était lui et sa trésorière qui encaissaient les sous. Je n’ai jamais dit qu’il avait détourné de l’argent, mais ce n’était pas à lui de s’asseoir à la table de séance avec sa trésorière pour encaisser cet argent. En démocratie, il faut distribuer les rôles. Les autres membtes sont aussi intelligents que le président donc qu’il leur fasse confiance.Voilà mon souci à ce niveau. Et c’est cette même erreur qui a été répétée concernant la formation du comité chargé de rencontrer le comité d’organisation à Abidjan. C’est encore lui le président qui s’est chargé de mobiliser tout le monde au pays et je ne dis pas que l’échec est venu de ce fait. Non et non. Même s’ils avaient été 100 personnes face au pco, ce dernier avait déjà dépensé l’argent, donc je n’avais aucun espoir qu’il le rembourse.
En conclusion, mon président est un très bon chef, et je le dis sans hypocrisie. Mais ce seul défaut qui consiste à ne faire confiance en personne et à vouloir tout diriger, c’est un défaut qui est réel en lui et il faut qu’il pense à l’améliorer. Je ne suis pas seul à le penser, mais je suis le seul à le dire haut. Les gens aiment les murmures et les calomnies, pas moi.
Président , tu auras mon soutien jusqu’à la fin de ton mandat. Mais si je ne dis pas les quelques défauts que tu as et dans lesquels tu persistes, je n’aurai jamais été un bon compagnon pour toi.
Une chose très importante que j’ai oubliée de mentionner concernant mon mot d’ordre de 2017 qui a consisté à ne pas remettre les cotisations à notre président, c’est que bien qu’il ne fût pas d’accord avec moi, il avait lui- même remis en mains propres les cotisations qu’il avait encaissées. Il s’agissait des cotisations de Gnahabley (130.000) et celles de son village Krikpoko (300.000f).Et dans quelles conditions? À cette réunion, le pco s’était mal comporté envers lui et lui avait fait subir une grande frustration publique. Heureusement que ce dernier avait aussi publiquement demandé pardon à la réunion du 27 janvier 2018 tenue à Abidjan. J’avais salué ce geste dans une publication. Voilà la vérité.
Je finis par répéter que tous ceux qui sont entrain de tenter de m’opposer à mon président ont déjà échoué et donc qu’ils arretent
Salut à vous.
Armel-Thomas Zatchi Tu viens de dire que tu dis haut ce que les gens disent bas à savoir j’aime le pouvoir et tout le pouvoir tout seul. Je te réponds que vous le dites à tort car mes collaborateurs savent comment nous avons travaillé pour finir les travaux des bureaux et du logement de notre sous-préfet à Djidji. Le pouvoir était délégué à des tâches bien déterminées. On a travaillé ensemble de façon Seine. Et voilà le résultat. Merci à vous tous. Le mini comité de Paris du 03 juin 2017, n’était pas un comité clandestin et j’avais expliqué à l’assemblée, pourquoi mon bureau devrait encaisser l’argent pour le remettre à cet comité pour la fête de la sous-préfecture. Et tout le monde était d’accord. Le dernier comité chargé de réclamer les 2705000 fcfa pendant ces vacances ci, c’est l’assemblée qui l’a voulu et chacun c’est désigné sans contrainte. L’assemblée a manqué de désigner un porte-parole à ta présence, Alain. Et tu n’as pas levé le petit doigt. On se dédouane pas de la sorte. Si j’ai couru par ci par là à Abidjan pour qu’on ait gain de cause, dis moi merci. Quand c’est bon, c’est le président. Quand c’est pas bon, c’est aussi le président. Alors j’assume mais je voudrais que les gens soient informés sans tronquer l’histoire.
Merci.
Alain Zadi DjegoueGnazale Gnazale Je ne suis intéressé par aucun poste. Je rends mieux service à mon peuple dans ma posture actuelle. Le seul poste que j’ai accepté, c’est moi-même qui l’ai créé contre vents et marées. Il s’agit du commissariat aux comptes. Mais la trésorière exige que je passe d’abord par le président avant de la contrôler, alors que j’ai été elu à ce poste comme lui. Mais malheureusement, quand j’ai fait le compte rendu de cette situation à l’assemblée, seul Moise Legbo m’avait soutenu, lui que je n’avait pourtant pas soutenu au cours du vote. En fait, les gens ne sont pas encore imprégnés de la démocratie, La preuve, il n’y a aucune association ici qui ait cet organe appelé commissariat aux comptes.
LeBoys Feel Attends je vais prendre tabouret pour m’assoir
Innocent Charles Tohouri Merci grand frère pour tout. Nous avons tous fauté dans l’organisation de cette fête. Mais ensemble, nous pouvons recouvrer les fonds. Dieu nous garde.
Armel-Thomas ZatchiInnocent Charles Tohouri , j’ai appris le décès de ta maman par Alain. Je te présente ici mes condoléances les plus attristées. Sois fort. Dieu te garde.
Innocent Charles TohouriArmel-Thomas Zatchi Merci grand frère
Alain Zadi Djegoue Je voudrais réitérer ici mes félicitations et mes salutations à l’endroit du président de la diaspora Djidji de France pour le juste combat qu’il mène en faveur de son peuple, une attitude à travers laquelle il me donne raison d’avoir suscité sa candidature au poste qui est le sien.
Ceci dit, fidèle à ma ligne de conduite, je serai incohérent si je ne relève pas aussi les erreurs que le président a commises au cours des démarches aux fins d’obtenir le remboursement de notre argent.
La première erreur, c’est le constat d’une mauvaise habitude qu’il devra définitivement abandonner dans l’exercice de son mandat, car c’est la deuxième fois qu’il commet cette erreur antidémocratique.
Souvenez-vous en effet, au moment où les cotisations de cet argent battaient leur plein, le président Thomas avait mis sur pied un comité ayant pour mission de co-organiser la fête avec le comité central sis à Abidjan. Cette initiative qui frisait la transparence n’en était en réalité pas une car c’est lui même qui convoquait les réunissons et c’était encore lui qui encaissait les cotisations. Je m’étais farouchement levé contre cette pratique et c’était notre tout premier couac.
Eh bien, cette faute, il vient de la refaire et je m’explique: à la dernière réunion avant le départ pout le village, il a voulu qu’un comité soit mis sur pied pour être le représentant de la diaspora à la rencontre prévue avec le comité central, et les volontaires se sont désignés. Mais ce que le président a expressément ignoré de faire comme la première fois, c’est de faire confiance à ce comité en lui affectant un responsable chargé de conduire la délégation, parce que dans son entendement, c’est lui qui devait la conduire et voilà qu’il l’a effectivement conduite, sans aucun de ses membres autour de lui.
La deuxième faute est que le président n’a fait signer aucune décharge au pco qui a reconnu avoir gaspillé notre argent et qui a promis de le restituer. Sur la base de quel document pourra-t-il donc lui réclamer cet argent?
Je vous souhaite une agréable journée.
Je crois que c’est peut-être toi qui as mal compris mon message, car je pense exactement ce que tu as transmis comme message à Mathias Tayoro. Si mes écrits m’ont trahi, je m’en excuse. Ce que Mathias m’a rapporté de toi, c’est que le temps est trop insuffisant pour que cette fête soit réalisée le 25 août prochain,par conséquent, tu allais voir avec le comité d’organisation quand ce serait possible. C’est justement cette réponse qui me met en colère, et très en colère avec toi et je m’explique: Après tout ce qui s’est passé l’année dernière avec vous et le comité qui s’est voulu parallèle, vous , c’est à dire toi et le comité d’organisation êtes allés au village demander pardon au chef central, et là- bas, vous avez décidé que la fête soit reportée en août 2018.
Au lieu que ce message soit envoyé par qui de droit, c’est à dire le président d’organisation de la fête, c’est toi le président de notre grande mutuelle de développement qui l’as porté par écrità notre président Thomas. Lorsqu’il a reçu ton message, Thomas nous a réunis pour qu’on y donne la réponse adéquate. Le mois d’août ayant été choisi par vous, nous avons logiquement compris que c’était à nous de choisir le jour de cette fête à notre convenance. C’est ce que nous avons fait en choisissant la date du 25 août 2018 qu’il t’a envoyée. Lorsque tu as reçu cette réponse, tu as dit à Thomas de l’adresser plutôt à Jean- Louis Felane le président du comité. La réponse de Thomas a été la suivante: “Si toi qui m’as envoyé le message je te retourne la réponse de Paris, je crois avoir informé qui de droit” C’est une réponse propre, logique. Dès qu’il t’a informé de cette proposition, il l’a postée sur facebook, et moi je l’ai suivi.
C’est donc cette date du 25 août 2018 qui est connue de tous, et pour nous, vous étiez en pleine préparation de la fête pour laquelle 2.705.000 cfa ont été cotisés. Toute l’année , nous-nous sommes abstenus de tous écrits sur facebook à propos de cette fête pour ne pas servir de boucs- émissaires à un éventuel échec. On vous a donc laissés tranquilles travailler à la réalisation de notre fête jusqu’au début du mois d’août qui était choisi, mais en vain. Pas de nouvelles de la fête, et ce que nous entendons ça et là, c’est que l’argent aurait été détourné à d’autres fins. Sans preuves, je ne pouvais pas croire à cette rumeur, et je t’ai donc appelé pour en savoir plus, mais là aussi en vain. Je t’ai laissé un message, mais toujours en vain. J’ai donc dit à Mathias Tayoro d’appeler le président Felane pour en savoir plus, et voici sa réponse telle que Mathias me l’a rapportée:” Moi , je ne voulais plus converser au téléphone avec vous de Paris, car mes frères de déblé écrivent des choses sur moi pour me salir.”Quand Mathias lui a demandé où il en était avec l’organisation de la fête, voici la réponse du président du comité d’organisation Jean-Louis Kobry Felane: “Moi, je ne m’occupe plus de la fête. J’y ai mis toute mon énergie, j’ai suspendu mes activités professionnelles toute l’année dernière, et les gens ne sont pas reconnaissants, ils écrivent contre moi. Néanmoins, nous avons une réunion le samedi 7 août chez Armand Boga, et je t’appellerai pour que tu y participes en direct si tu le souhaites”. Le 7 août, aucun appel de Felane. C’est ainsi que j’ai dit à Mathias de t’appeler, ce qu’il a fait le samedi 11 août. Vous auriez causé pendant plus d’une heure d’horloge et selon Mathias, tu aurais émis un étonnement quant à une réunion qui devait avoir lieu chez toi le 7 août, car tu n’en serais pas informé. Tu aurais ajouté , toujours selon Mathias, que Felane chercherait plutôt à t’éviter, car après avoir entendu qu’il ne restait plus que 600.000cfa sur les 2.705.000 cfa, tu aurais aimé en savoir plus. Tu aurais mis l’accent sur le fait que Felane t’éviterait car il ne prendrait pas tes appels et ne répondrait pas à tes messages. Tu aurais ensuite promis de faire ce qui est possible pour que la fête se réalise à une date ultérieure, mais pas le 25 août 2018.
Ceci dit, moi je te pose quelques questions, grand frère Armand.
1/ Qu’est ce qui vous a empêché de faire cette fête cette année pour que tu parles d’une date ultérieure?
2/ Et comment le saurions nous , nous de la diaspora si Mathias ne t’avait pas appelé?
3/ Pourquoi ce silence total sur l’organisation de la fête, vous qui étiez l’année dernière régulièrement au cabinet du ministre?
Sur facebook, tu m’as bloqué, sur messenger aussi, et j’utilise donc mon forfait pour te faire des messages sur ton téléphone, mais en vain. Je te rassure que je n’ai absolument rien contre toi, mais le fait que c’est toi et le chef central qui avez non seulement imposé Felane comme président du CO, vous avez une responsabilité morale quant à un éventuel échec de cette fête. Surtout toi qui conduisais le comité au cabinet du ministre l’année dernière. Réponds nous pourquoi personne, ni au village, ni à Abidjan, ni à Paris n’entend rien de vos activités sur les préparatifs de notre fête s’il te plaît. C’est la question que tout le monde se pose et à laquelle tu devras répondre.
Cher grand frère Armand, ce que nous constatons à propos de cette fête, c’est que vous avez échoué, et cet échec est un échec personnel à toi, notre haut cadre, celui que nous respectons et sur qui nous comptons. C’est une vraie honte pour toi, et tu devras à partir d’aujourd’hui t’effacer du leadership de toutes nos activités concernant le développement de djidji, car en réalité, tu n’as de temps que pour la religion catholique et tes propres affaires, ce qui n’est pas un défaut, car on ne peut pas tout faire dans la vie. Mais ce que tout le monde souhaite plus bas et que je te dis aujourd’hui plus haut, c’est que tu dois dégager de ce poste de président de la mutuelle que tu occupes depuis 30 ans dans l’immobilisme total. C’est tout.
Salut, grand frère.
Djégoué Zadi Alain
LA DÉSILLUSION ET LA COLÈRE DE NOS PARENTS.
Comment peut-on confier un boeuf à celui qui ne s’est jamais occupé d’un poussin? Voilà la question que se posent aujourd’hui la population de djidji qui constate avec indignation que sa fête annoncée avec tant de boucan a définitivement échoué.
Depuis que notre fête avait connu ce non -lieu l’année dernière, la majorité de la diaspora en avaient fermé la page , tellement ils savaient que le choix des membres du comité d’organisation portait en lui même le germe de cet échec.
Honnêteté oblige, je suis de ceux qui ont involontairement contribué à cet échec, que dis-je, à cette honte historique, et je suis donc prêt à présenter de la manière la plus humble et la plus digne, mes excuses à mes camarades de l’ARDSPF que j’avais obstinément refusé d’écouter.
Oui, j’accepte ma part de responsabilité de cette grande désillusion honteuse pour avoir fait confiance à un président du comité d’organisation dont j’avais pourtant contesté le mode de désignation.
Très prochainement, je vous livrerai le récit de cette débâcle historique. .
Bonne journée.
Djidji est en proie à de fortes turbulences depuis son érection tardive en sous-préfecture. Certains considéreront cela comme une crise d’adolescence. Cela n’étonne guère les observateurs avisés. La sous-préfecture de Djidji vit actuellement une ère de juvénilité passagère faite de soubresauts par une série d’avalanches programmatique de dates festives à l’honneur de la sous-préfète N’goua Chantal à qui les ressortissants de cette sous-préfecture de Djidji, souhaiteraient rendre un grand bel hommage pour avoir été le premier sous-préfet du pays de Djidji.
Dates programmées dans la passion et non finalement respectées et pour cause, nous avons du mal à accorder nos violons, des difficultés à travailler ensemble, en fondamentale synergie.
Tout cela est déplorable, ubuesque ou kafkaïen : faisant de nous, la risée aux yeux du monde. Je le regrette profondément. Mais il n’y a pas de raison de désespérer, tout cela s’inscrivant dans la marche normale de toute progression humaine durable. Les débuts étant toujours difficiles et pénibles.
J’invite mes frères et soeurs à se retrouver, se respecter, se parler et à travailler ensemble dans la considération des compétences des uns et des autres et de l’intérêt général pour la réalisation de cette fête qui nous nargue de nos divisions conséquentes.
Maintenant, quelles solutions ?
A suivre,
Chers parents et amis de djidji.
C’est avec beaucoup de regrets, mais surtout avec un profond sentiment de fraternité et de solidarité à l’égard de nos frères et soeurs de la diaspora que j’interviens ce matin à l’issue de notre rencontre d’hier avec le chef du cabinet du parrain, monsieur le ministre des infrastructures économiques.
Les mots me manquent en effet, pour présenter à chacun de vous les excuses du comité que j’ai l’honneur et la fierté de diriger. Nous vous disons un grand
“A BODJÉ” pour les manquements que vous avez eu à constater et dont nous assumons humblement l’entière responsabilité.
Afin de préserver la cohésion qui nous est si chère, permettez moi de vous épargner ici certains détails que vous avez dû apprendre et qui fâchent, car nous vous en informerons plus amplement le temps venu.
Je mesure votre amertume et votre déception tant nous savons que bon nombre d’entre vous sont venus de très loin après avoir choisi leurs vacances en fonction de la date du 18 août 2017 initialement convenue, et que celle du 2 septembre 2017 annoncée vient encore d’être abandonnée vue le calendrier très chargé du parrain.
En définitive donc et de manière officielle, je vous annonce que notre fête tant attendue sera célébrée le 9 septembre 2017 PROCHAIN en présence du parrain.
Encore une fois, ” A BODJÉ”
Votre frère Jean-Louis Kobry, Président.
La fête en l’honneur de la sous-préfète (premier sous-préfet de la nouvelle sous-préfecture de Djidji) approche à grand pas. La population de toute la sous-préfecture s’active afin de procéder à son installation officielle et lui exprimer en même temps sa légendaire hospitalité depuis sa prise de fonction le 04/02/2017 à Djidji, chef-lieu de la sous-préfecture.
Ce sera alors, le 18 août 2017 !
Le soutien de djidji.org au Comité d’organisation et à toute action bienveillante allant dans le sens de la réussite de la fête.