Incompatible avec Une ACTIVITÉ Politique..(??) Ok d’accord….!! Nous Respectons La Décision et Le Choix du PIP , GNADOU D. ZADI…Natif de DJIDJI…( SVP..!!)
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DJIDJI-CENTRE:
RÉNOVATION DE LA MUTUELLE DE NOTRE JEUNESSE: CE QUI DOIT ÊTRE SU ET COMPRIS. Alain zady de la diaspora 👇👇👇👇👇
Parmi tous ceux qui ont applaudi l’avènement de l’association de la jeunesse de notre sous-préfecture, votre serviteur occupe une place non négligeable. Ne pas le reconnaître serait un acte de mauvaise foi. Et pourtant, je ne suis pas loin de ceux que j’appelle nos doyens d’âge, et qui de ce fait, préfèrent regarder de loin nos jeunes se prendre eux- eux-mêmes en charge, sans le moindre geste d’encouragement.
Moi je salue encore cette vaillante jeunesse et leur bouillant président qui ne ménage aucun effort pour faire parler de son association.
Ce qui doit être su et compris cependant, c’est que la mutuelle des jeunes de Djidji- centre est une réalité indéniable. En d’autres termes, cette association existe déjà, mais elle est peu efficace parce qu’elle manque d’encadrement et de soutien. Mais surtout parce que son président est très occupé par ses activités professionnelles et n’a donc pas le temps de remplir comme il se doit ses obligations.
Au regard de cette situation et par principe, ce qui était à faire, c’est de nous adresser à l’instance de la jeunesse sous- préfectorale pour la restructurer. Malheureusement, après l’incident qui s’est passé entre le président de notre jeunesse et nous ses soutiens de la diaspora, je suis le seul à lui avoir pardonné ce grave dérapage, et pour matérialiser mon pardon à lui accordé, j’ai fait un post dans lequel j’ai appelé les autres victimes à faire comme moi, mais en vain.
Mais je ne me suis pas arrêté là. J’ai écrit à mon jeune président pour lui demander d’appeler individuellement les concernés pour appuyer mes démarches. Sa réponse, je n’ose même pas vous la dire ici, tellement elle va vous décevoir. À partir de cet instant, j’ai conclu à ma défaite.
Mais fidèle à mon engagement pour le progrès de ma sous-préfecture, je ne suis pas prêt à lâcher la jeunesse de chez moi, car c’est elle qui va assurer la relève et faire face aux défis du sous-développement de cette sous-préfecture. C’est pourquoi je prends ici et maintenant l’engagement solennel de m’associer aux forces vives de la diaspora de Djidji-centre qui veulent restructurer directement notre jeunesse locale , composée des villageois et des citadins.
Ce soutien ne signifie en aucune façon un quelconque mépris pour l’association sous- préfectorale qui n’arrête pas de marquer des points. Ne pas reconnaître cela relèverait de la malhonnêteté. Mais entre nous, pour un grand-père que je suis, comment voulez-vous que je continue de soutenir une association dont le président ne donne aucun signe de souplesse ni d’humilité ?
La seule chose que je puisse faire, c’est de souhaiter qu’il continue de bien travailler comme il le fait, car après tout, c’est notre sous-préfecture qui gagne.
Une chose très importante à savoir, c’est que non seulement on n’est pas obligé d’appartenir à une association, mais on peut tout aussi appartenir à plusieurs associations. Donc jeunes de Djidji sous-préfecture, sachez que le moyen le plus efficace de parvenir au développement auquel vous et nous aspirons, c’est de la mener aussi et surtout localement. C’est la raison pour laquelle il existe partout des mutuelles dans les villages.
Courage donc, et en avant pour le progrès sans violence verbale.
Bonne journée à tous.
Mon commentaire : tout y est dans son intervention, un homme qui ne marche pas sur ses mots
Votre commentaire sans partir pris !!!
Dans ma publication d’hier, je vous ai promis l’explication de cette position que vous rappelle le titre de la présente. L’explication est très simple, et très facile à accepter quand on est un amoureux objectif de Djidji-centre.
Avant d’aller plus loin, il faut d’abord saluer les élans avant -gardistes de mes parents maternels s’agissant des réalisations de nos infrastructures. Je ne dis pas que les Godjiéwan sont seuls à tout faire, loin s’en faut, mais depuis mon enfance, l’engouement pour les travaux de nos réalisations communes vient de Godiéko. Ne pas reconnaître cela me semble un jugement subjectif et pas honnête. . Oui, il faut donner à César ce qui est à César. Je ne sais pas si cela a changé, car je ne suis plus fréquent chez nous comme par le passé, mais durant toute mon enfance, j’ai toujours assisté à cette merveilleuse situation que je me dois de saluer à sa juste valeur. Bravo donc à mes parents maternels.
Après ce constat indéniable, venons- en à celui tout aussi indéniable mais malheureusement peu honorable, qui ne finit pas de ternir l’image du village de feue ma mère. C’est la mauvaise gestion de la chose publique dont il s’est illustré champion. Les preuves sont là devant vous, et je refuse donc d’aller dans les détails de mon affirmation jusqu’à ce que je rencontre dans vos commentaires une affirmation contraire. Autrement dit, j’attends que quelqu’un me dise que je suis entrain de faire un faux procès à Godiéko, avant de faire la démonstration de cette déclaration.
Les raisons profondes de ma position sont donc liées à mon souhait de confier la gestion de tous nos biens non étatiques et le contrôle de nos ressources financières, sans oublier la franche collaboration avec les autorités étatiques installées chez nous, à une structure sérieuse qui n’est autre que notre mutuelle de développement, car vous constatez malheureusement avec moi qu’en l’absence de ce puissant outil du progrès, c’est l’anarchie et la confusion totales qui se sont installées chez nous depuis belle lurette. Selon moi, cela n’a que trop duré et il faut y mettre fin.
Bon début de semaine à vous.
Auteur : Alain Zadi Djegoue
Armel-Thomas Zatchi Bonjour à tous.
Chers lecteurs, je suis Armel Thomas Abya, président de la diaspora Djidji en France. Vous avez beaucoup lu sur moi cette semaine relatif au remboursement des 2 705 000 f cfa dépensés à d’autres fins par le président du comité d’organisation de la fête de Djidji sous-préfecture. Ces écrits qui m’accusent émanent de notre frère Alain Zadi Djegoue. Je réponds juste à son dernier post qui soutient que, je n’avais pas désigné un responsable du comité chargé de réclamer les 2 705 000 fcfa et je n’ai obtenu de décharge de reconnaissance du pco alors sur quelle base allons nous le poursuivre? Chers parents, je vous dis ma part de vérité aujourd’hui sur ce problème pour que tout le monde soit au même point d’information.
En effet, si nous voulons considérer l’aspect légal comme l’écrit Alain, reconnaissons qu’il n’y a pas eu de décret de nomination du pco. Et quand l’argent lui a été remis, il n’y a pas eu non plus de décharge. Donc il peut ne pas reconnaître les faits. A ma connaissance, il n’a jamais été question de poursuivre quelqu’un en justice. Chers parents, ici à Paris, concernant l’organisation de la fête de la sous-préfecture à Djidji en août 2017, nous avions mis notre plan de cotisations sur pied. Et les cotisations avaient commencé à rentrer. L’argent encaissé devrait être remis au petit comité de Paris par mon bureau à la dernière réunion afin de venir travailler avec le comité d’Abidjan. Et tout le monde était d’accord.
À un mois de la fête, j’apprends qu’il fallait envoyer tout l’argent à Abidjan sans passer par le comité de Paris, pour des raisons inavouées. Et le meneur de l’action c’était Alain Zady Djegoue. Tout l’argent est alors déposé à Abidjan aux mains du pco. Et monsieur a fait le java avec. Aujourd’hui, nous cherchons à sauver les meubles. Et j’ai dit, à la prochaine réunion de bilan, nous allons mettre un plan de sauvetage en place pour sauver la situation. Alors, cher ami Alain Zady, l’homme en qui tu avais cru capable de gérer les
2 705 000 fcfa de la sous-préfecture, c’est à lui que l’argent à été remis. Au moment venu, je te désigne d’office porte parole du prochain comité chargé de recouvrer les
2 705 000 fcfa dépensés par pco à des fins personnelles. Je crois qu’avec toi, ça ne sera peut-être pas trop compliqué de récupérer les sous parce que c’est toi qui avait voulu que cet argent lui soit envoyé. J’ai bon espoir que nous nous en sortirons à l’amiable. Personne ne sera poursuivie en justice. J’appelle tout le monde à l’apaisement.
Bonne journée à tous.
Fraternellement.
Armel Thomas Abya, président de Djidji sous-préfecture France.
COMMENTAIRES :
Gnazale Gnazale Ah les réseaux sociaux.
La cuisine interne se meurt.
LeBoys FeelGnazale Gnazale nous sommes en 2019 cher ami
Gnazale Gnazale Explicitement cela revient à dire que…
LeBoys FeelGnazale Gnazale tu vas beau te cacher mais sa va sortir donc vaut mieux faire les choses en toute transparence de nos jour on ne peut échapper aux réseaux sociaux surtout quand il s’agit d’un truc public
Gnazale Gnazale La solution est sur Facebook ?
Le président, Alain et les autres peuvent résoudre ce problème entre frères ( ce qui n’est pas synonyme de laisser le coupable)sans que nous qui sommes leurs amis ne soyons informés.
Il faut privilégier les confrontations d’idées physiquement autour d’une table. La solution devient pratique.
LeBoys FeelGnazale Gnazale il y a pas le feu ici c’est juste un rappel le président fait puisque c’est ici que s’avait débuté
Ne dramatisez pas les choses sans Facebook penses tu que toutes les infos tu as aujourd’hui de partout dans le monde te serait accessible surtout pour vous qui ne venez jamais au différente réunion ?
Gnazale Gnazale L’insuffisance des réseaux sociaux.
Nous n’y tenons pas nos réunions.
Nous convoquons les réunions via ces canaux donc c’est à nous d’y mettre ce qui nous honore et de gérer ce qui ternit notre collaboration en confrontations directes. En famille, partout où cela est possible, on peut traiter un mal quelle que soit sa gravité.
Ma position, c’est que les doyens et à travers eux tous nos frères de djidji règlent les différends frontalement.
Les réseaux sociaux doivent vraiment être évités pour des sujets aussi sensibles.
Voyez-vous, depuis des mois, ce sujet traîne sur Facebook mais rien n’y fit. Or, en séance plénière, des solutions pratiques seraient trouvées.
Vive djidji
Gnazale GnazaleLeBoys je ne suis pas de djidji.
Je suis de Niagbaméko.
A Niagbameko, on ne te dira jamais que je suis absentéiste.
J’interviens en tant que fils de Ziki
Je ne gagnerai rien à DRAMATISER les choses.
Au doyen Alain, j’ai déjà dit que les réseaux sociaux ne règlent pas tout et il le sait.
Je dis que des problèmes plus graves ici-bas ont été gérés avant l’avènement de R.S. alors n’en faisons pas notre chou gras.
Pour que la mutuelle de djidji règle ce problème, on n’a pas forcément besoin de Réseaux Sociaux.
LeBoys FeelGnazale Gnazale ah tu n’es pas de Djidji ok je comprends en tout cas chez nous à Djidji les fils et filles sont un peu partout dans le monde donc c’est par ce canal que toutes les informations passent que sa soit objective comme critique
Nous n’avons pas de cadres il faut bien que chaque enfant soit au parfum des réalités de chez nous pour mieux entreprendre une action de développement car ceux qui lavaient leur linge 🧺 sale dans la chambre nous ont rien apporté jusqu’aujourd’hui merci
cordialement
Gnazale Gnazale D’ACCORD1
Alain Zadi Djegoue Gnazale Gnazale Merci, mais le président Armel n’a insulté personne, moi non plus. Je l”ai mis sur le banc des accusés et il fallait qu’il s’expluque, et c’est ce qu’il a fait. C’est cela la démocratie. Rassure toi, il n’y aura jamais de conflit entre mon président et moi, car je me suis engagé à le soutenir jusqu’au bout avec ses defauts et ses qualités. Et au cours de ce mandat, je pense que ses qualités sont nettement dominants, et c’est tout à ma satisfaction.. En faisant ressortir ses erreurs, je veux vous montrer à vous qui soutenez les hommes politiques qu’il ne faut pas tout applaudir d’un chef. Sinon, il ne pensera jamais à s’améliorer. C’est parce que nos chefs d’Etat sont applaudis à tous les actes qu’ils posent qu’ils se sentent tout-puissants.
En conclusion, celui qui pense qu’il y a le feu entre mon président Thomas et moi n’aura rien compris de ma conception de la démocratie.
Salut petit frère et que Dieu te bénisse.
Gnazale Gnazale Merci.
J’ai aimé un pan son intervention que je paraphrase
A NOTRE PROCHAINE RENCONTRE, JE TE CHOISIRAI…
Si tel est que les rencontres sont possibles entre vous, traitez-y ce mal. Et soyez les ambassadeurs de la destination djidji
Alain Zadi Djegoue Oui, j’assume complètement mon mot d’ordre qui consistait à envoyer les cotisations au comité central, car c’est lui seul qui était connu comme le l’ organisateur de la fête. Je rappelle à tous mes lecteurs ma vive protestation qui avait suivi le mode de désignation du pco. J’étais tout seul contre tous. Non seulement je connaissais déjà son passé en matière de gestion, mais j’avais souhaité un vote auquel tous ceux qui voulaient briguer ce poste se présentent. Je n’avais pas été compris,:et comme je n’étais pas soutenu dans ma position, je m’étais incliné publiquement à travers une publication. À partir de cet instant, il n’y avait plus de raison qu’on ne fasse pas confiance au pco. C’est pourquuoi j’avais tempêté pour que cela soit et cela fut.
Quant au comité qui avait été formé par le président en 2017 travailker avec le comité central, je répète encore à qui veut l’entendre que le président aurait dû le laisser travailler. Au lieu de cela, c’était lui qui convoquait les réunions relatives aux cotisations, et c’était lui et sa trésorière qui encaissaient les sous. Je n’ai jamais dit qu’il avait détourné de l’argent, mais ce n’était pas à lui de s’asseoir à la table de séance avec sa trésorière pour encaisser cet argent. En démocratie, il faut distribuer les rôles. Les autres membtes sont aussi intelligents que le président donc qu’il leur fasse confiance.Voilà mon souci à ce niveau. Et c’est cette même erreur qui a été répétée concernant la formation du comité chargé de rencontrer le comité d’organisation à Abidjan. C’est encore lui le président qui s’est chargé de mobiliser tout le monde au pays et je ne dis pas que l’échec est venu de ce fait. Non et non. Même s’ils avaient été 100 personnes face au pco, ce dernier avait déjà dépensé l’argent, donc je n’avais aucun espoir qu’il le rembourse.
En conclusion, mon président est un très bon chef, et je le dis sans hypocrisie. Mais ce seul défaut qui consiste à ne faire confiance en personne et à vouloir tout diriger, c’est un défaut qui est réel en lui et il faut qu’il pense à l’améliorer. Je ne suis pas seul à le penser, mais je suis le seul à le dire haut. Les gens aiment les murmures et les calomnies, pas moi.
Président , tu auras mon soutien jusqu’à la fin de ton mandat. Mais si je ne dis pas les quelques défauts que tu as et dans lesquels tu persistes, je n’aurai jamais été un bon compagnon pour toi.
Une chose très importante que j’ai oubliée de mentionner concernant mon mot d’ordre de 2017 qui a consisté à ne pas remettre les cotisations à notre président, c’est que bien qu’il ne fût pas d’accord avec moi, il avait lui- même remis en mains propres les cotisations qu’il avait encaissées. Il s’agissait des cotisations de Gnahabley (130.000) et celles de son village Krikpoko (300.000f).Et dans quelles conditions? À cette réunion, le pco s’était mal comporté envers lui et lui avait fait subir une grande frustration publique. Heureusement que ce dernier avait aussi publiquement demandé pardon à la réunion du 27 janvier 2018 tenue à Abidjan. J’avais salué ce geste dans une publication. Voilà la vérité.
Je finis par répéter que tous ceux qui sont entrain de tenter de m’opposer à mon président ont déjà échoué et donc qu’ils arretent
Salut à vous.
Armel-Thomas Zatchi Tu viens de dire que tu dis haut ce que les gens disent bas à savoir j’aime le pouvoir et tout le pouvoir tout seul. Je te réponds que vous le dites à tort car mes collaborateurs savent comment nous avons travaillé pour finir les travaux des bureaux et du logement de notre sous-préfet à Djidji. Le pouvoir était délégué à des tâches bien déterminées. On a travaillé ensemble de façon Seine. Et voilà le résultat. Merci à vous tous. Le mini comité de Paris du 03 juin 2017, n’était pas un comité clandestin et j’avais expliqué à l’assemblée, pourquoi mon bureau devrait encaisser l’argent pour le remettre à cet comité pour la fête de la sous-préfecture. Et tout le monde était d’accord. Le dernier comité chargé de réclamer les 2705000 fcfa pendant ces vacances ci, c’est l’assemblée qui l’a voulu et chacun c’est désigné sans contrainte. L’assemblée a manqué de désigner un porte-parole à ta présence, Alain. Et tu n’as pas levé le petit doigt. On se dédouane pas de la sorte. Si j’ai couru par ci par là à Abidjan pour qu’on ait gain de cause, dis moi merci. Quand c’est bon, c’est le président. Quand c’est pas bon, c’est aussi le président. Alors j’assume mais je voudrais que les gens soient informés sans tronquer l’histoire.
Merci.
Alain Zadi DjegoueGnazale Gnazale Je ne suis intéressé par aucun poste. Je rends mieux service à mon peuple dans ma posture actuelle. Le seul poste que j’ai accepté, c’est moi-même qui l’ai créé contre vents et marées. Il s’agit du commissariat aux comptes. Mais la trésorière exige que je passe d’abord par le président avant de la contrôler, alors que j’ai été elu à ce poste comme lui. Mais malheureusement, quand j’ai fait le compte rendu de cette situation à l’assemblée, seul Moise Legbo m’avait soutenu, lui que je n’avait pourtant pas soutenu au cours du vote. En fait, les gens ne sont pas encore imprégnés de la démocratie, La preuve, il n’y a aucune association ici qui ait cet organe appelé commissariat aux comptes.
LeBoys Feel Attends je vais prendre tabouret pour m’assoir
Innocent Charles Tohouri Merci grand frère pour tout. Nous avons tous fauté dans l’organisation de cette fête. Mais ensemble, nous pouvons recouvrer les fonds. Dieu nous garde.
Armel-Thomas ZatchiInnocent Charles Tohouri , j’ai appris le décès de ta maman par Alain. Je te présente ici mes condoléances les plus attristées. Sois fort. Dieu te garde.
Innocent Charles TohouriArmel-Thomas Zatchi Merci grand frère
Pour ceux qui connaissent Gnadou Dano Zady, il n’y a pas à s’étonner de l’acte posé.
En effet, notre frère vient de se désister du cercle de soutiens de notre jeunesse par obligation de déontologie.
Vous savez très bien que Gnadou Dano Zady est un homme politique engagé, et un homme de médias très connu (il est le fondateur du PIP, de zikisso.com et djidji.org)
Pour mieux mener ses engagements dont il est réputé, et pour éviter qu’on le traite de manipulateur politique de notre jeunesse, il nous a donc demandé de bien vouloir excuser son retrait du cercle de soutiens. Cela ne signifie en rien qu’il a arrêté de soutenir sa jeunesse, mais après réflexion, il a trouvé beaucoup d’incompatibilités à être affiché comme tel avec l’homme politique qu’il est.
Si son image est restée sur le collage, c’est parce que techniquement, il n’a pas été possible de la retirer. Considérez donc qu’à partir de la lecture de cette publication, le président Gnadou Dano Zady ne fait plus partie du cercle de soutiens de la jeunesse de Moses Akanou DE Djidji
Merci de votre compréhension.
Salut, Atokpa, nous comprenons ta position, et te souhaitons bonne chance sur le chemin de ton engagement politique.
Auteur : Alain Zadi Djegoue
C’est une bonne chose de soutenir notre jeunesse. Je la félicite d’avoir réussi cette fête d’investiture qui rend hommage à la portée de leur pragmatisme. Cependant, il serait préférable de les laisser occuper eux-même l’espace médiatique dédié.
Aussi demanderai-je à toi Atokpah Alain Zadi Djegoue de me retirer momentanément de la liste de soutien ci-dessous. Dans ma mission politique de paix, je cultive la neutralité, décidant ainsi de me mettre au dessus de tout conflit potentiel pour servir au cas échéant de conciliateur.
Je suis celui qui arrange, Dano et je souhaiterais demander à mes frères de contenir notre émotion de voir manifester et émerger dans la sous-préfecture de Djidji, une jeunesse responsable se projetant dans un avenir prometteur.
Restons à notre place et cherchons à travailler dans l’harmonie avec elle pour le développement indispensable de notre localité commune. Nous devons inviter à l’autonomie de cette jeunesse. Lui éviter par notre petite expérience de la vie, des péchés capitaux et originels, nous oblige à la responsabilité de franchise envers elle.
Il est de notre devoir de recommander l’humilité à notre jeunesse : elle réalisera de grandes choses si et seulement si nous ne la dressons pas contre elle-même et contre les autres générations.
Merci Atokpah Alain Zadi Djegoue initiateur infatigable d’actes buldozers ou révolutionnaires autour de lui et particulièrement en faveur de la sous-préfecture de Djidji.
Tout en exprimant ma joie en la réussite de la fête de notre jeunesse et ma satisfaction de voir se créer un comité de soutien autour de leurs futures actions, je souhaiterais avoir des précisions sur un certain nombre de choses.
Pour la réussite de la mission de notre jeunesse, je prône l’harmonie et non la précipitation, l’impudence en des invectives caractérisées ici et là.
Dans la sous-préfecture de Djidji, la jeunesse doit, je le répète, travailler avec tout le monde et éviter des péchés capitaux et/ou originels comme elle doit s’affranchir de certains pièges qui pourront vite se révéler en des impasses ou murs infranchissables.
Conduire Djidji, c’est d’abord se prévaloir d’un code de conduite ou de principes, confirmé par un permis de conduire de niveau convenu auparavant. Même si l’un des principes en philosophie recommande que pour se poser il faut s’opposer, il est évident qu’on doit recourir à toute sagesse qui rappelle que toute action appelle une réaction que si elle n’est pas maîtrisée entraîne indubitablement le désordre ou l’anarchie préjudiciable à toute acte de développement durable et harmonieux.
Je termine pour dire qu’étant président du P.I.P, un parti politique prônant la paix et la réconciliation en Côte d’Ivoire voire dans le monde, je me dois selon les principes de paix, de conciliateur et de réconciliateur qui me caractérisent, de me situer au dessus de tout groupement dont j’ignore de prime abord, les tenants et les aboutissants, fusse-t-il de ma ville natale, de telle sorte que s’il y a ici soutien, il ne saurait être, pour un observateur averti, que de principe.
Ekbèley DjiDjiyeu,
Ayoh Djidji Nâh sous-préfecture,
Dieu bénisse Djidji,
Djidjiyeu Nâh Mènoh!
Vive la Côte d’Ivoire.
Le Président du PIP,
Amk. GNADOU Dano Zady,
17 h ·
1) n’avoir pas formé un comité indépendant à paris;
2) mon bureau s’est autoproclamé comité d’organisation;
3) fixation parallèle d’un taux de cotisation à Paris.
Chers parents, chers lecteurs l’auteur de ces écrits que je nomme frère Alain Zady a décidé de ne plus participer aux réunions de notre association depuis le 25/03/17 date à laquelle lui même et l’assemblée toute entière avaient voulu que la contribution de Paris à l’organisation de la fête du 18/08/17 à Djidji se fasse par village. Ce jour là, Alain Zady a fait un don de 10 bâches. Et j’ai parlé a l’assemblée de la liste de dépenses que le comité d’Abidjan m’a envoyée. Mon bureau a présenté son bilan de fin d’exercice 2015/2016 le 29/04/17. Un bilan moral et financier positif approuvé par l’assemblée. Le dimanche 14/05/17, j’ai réuni les présidents des associations de villages qui composent Djidji sous-préfecture. A cette réunion, les participants ont entériné la décision de l’assemblée du 29/04/17 en fixant les cotisations de façon proportionnelle à notre nombre par village. A l’issu de cette rencontre, la secrétaire a publié le P.V. C’est ainsi qu’ à la réunion du 03/06/17, les frères Dioula de Moussadouko ont donné leur 200 euros. Depuis toutes ces réunions, il n’y a jamais été question que nous qui sommes à Paris devions cotiser avec nos parents. Je n’ai jamais eu cette information d’une part et nous n’avons pas été associés à cette prise de décision d’autre part. Le 03/06/17 chers parents, l’assemblée a mis en place un comité de 5 personnes qui doivent travailler avec nos frères d’ABIDJAN. La liste des dépenses que Abidjan m’en envoyée a été rectifiée ce 03/06/17 parce que l’assemblée a trouvé ces dépenses trop excessives. Alors quand on ne vient pas aux réunions, on se renseigne ou on se tait et on subit la politique de la chaise vide. Mon bureau ne fait actuellement qu’un travail de coordonnateur. Il ne s’est pas autoproclamé comité d’organisation. Nous suivons un processus. Nous nous (bureau) sommes donnés la charge de collecter les fonds et à la dernière réunion prévue pour le 05/08/17, devant tout le monde, nous faisons le point et remettons tout au comité pour travailler conjointement avec nos frères d’Abidjan. Car au retour, ils doivent nous rendre compte. C’est aussi cela la transparence. Je ne travaille pas contre les intérêts de mon peuple. Arrêtons de dénigrer les autres inutilement. Je vous ai expliqué les faits avec les dates à l’appuis. Que celui qui peut me contredire me contredise. La paix soit avec vous. Je vous aime.
Armel-Thomas Zatchi, président de Djidji s/p France.
(La prochaine réunion se tiendra le 22/07/17 au lieu du 15/07/17 à cause des veillées. Plus d’informations ultérieurement). Merci.
6 h ·
Oui, nous avons longtemps applaudi notre président et nous l’applaudirons encore aussi longtemps qu’il sera dans la droiture. Mais aujourd’hui, honnêteté oblige, c’est le moment de lui faire des remontrances et lui demander de s’expliquer sur ce qui lui est reproché.
Pour ceux qui s’offusquert de ce que nous mettons les débats sur la toile, je répète qu’il ne s’agit pas de la vie privée de notre président, mais mieux, il s’agit d’un sujet qui intéresse des gens qui ne sont pas forcément dans le même espace géographique.
En effet, deux choses sont reprochées au président et à son bureau.
1/ La fixation d’une contribution parallèle selon le nombre des ressortissants de chaque village ici à Paris, concernant les cotisations relatives à la prochaine fête de la sous-préfecture de DJIDJI.
2/ L’auto proclamation du bureau comme comité annexe d’organisation de la fête de notre nouvelle sous-préfecture .
Sur le premier point, le comité cenral, par les voix de son président et de son chargé de communication, a sauvé la peau de notre bureau en s’appropriant l’erreur avant de nous présenter courageusement ses excuses. Un comportement que je trouve tout à fait magnifique et louable et qui m’amène du coup à ne plus tenir compte de ce point d’accusation.
Reste le deuxième point.
Pourquoi , alors qu’on nous avait promis la formation d’un comité indépendant du bureau de notre association, lequel comité serait chargé de gérer les fonds de la fête, pourquoi dis- je, ce bureau s’est-il permis d’encaisser cet argent?
President Thomas must make things clear or apologize if he feels guilty. Have a nice day.
J’aime * Commenter / Partager / 2 Angeline Djagbre et 1 autre personne
J’ai été personnellement touché par ce vibrant appel d’un frère qui, pour sa région et sa sous-préfecture, ne ménage aucun effort au près de ses concitoyens, qui à les froisser malgré lui ou à les prendre dans le sens du poil, dans la seule perspective de tirer le meilleur d’eux en ce qui concerne le développement, le seul qui vaille à Djidji ou ailleurs. Nous en sommes conscients même si nous ne sommes pas souvent d’accord sur la méthode.
Alain Zadi Djegoue a fait une contribution utile en ce sens qu’elle nous invite à fédérer nos énergies dans la réalisation de nos objectifs communs. Chacun doit y apporter une réponse participative ou constructive.
Voilà la mienne pour souligner que cet appel de Zadi Alain nous concerne tous autant que nous sommes, sans aucune exception de potentiels gros donateurs. Dieu nous a comblé en dons. Chaque don est pleinement suffisant à toute réalisation collective, à toute exponentielle agrégation potentielle. Réunissons nos forces ou dons, dans cette nouvelle mission.
Comme je l’ai dit tantôt, un prévisionnel, une planification de toutes les ressources serait nécessaire pour la réussite de cette aoûtienne fête estivale de la sous-préfecture de Djidji.
Je vous remercie,
QUEL BONHEUR!!!
Dans l’un de mes articles, j’avais appelé de tous mes vœux la collaboration du frère Clément Séboua avec le président Armel Thomas Djatchi, pour le bonheur de notre diaspora et celui de notre sous-préfecture. C’est chose faite, et je ne peux que m’en réjouir.
Djidjié de France, notre association est désormais en marche. Elle a à sa tête des femmes et des hommes capables de relever tous les défis qui se dresseront sur notre chemin. Faisons leur confiance, mais surtout, n’hésitez pas à leur faire des reproches si d’aventure, ils venaient à commettre des fautes dans l’exercice de leur mission, car comme vous et moi, ce sont des êtres humains, et donc, susceptibles d”en commettre…>> Voir la suite
Je m’adresse ici aux nombreux critiques talentueux que regorge notre région Zikisso.
Bravo, chers frères et sœurs et merci du travail que vous êtes entrain de faire avec tant de dévouement. Vous êtes des farouches adeptes de la démocratie. Je loue le courage qui est le vôtre et qui vous permet de dire si haut ce que nous pensons tous plus bas dans nos salons sur la gestion de notre pays à tous.
Sans critique, point de démocratie. Le chef, en briguant son poste, est censé savoir qu’il s’expose aux mécontentements d’une partie du peuple ou de la communauté qu’il veut gouverner…>> Voir la suite