La loi prévoyant l’intervention de l’avocat au cours de l’enquête vient de clore ses vingt ans (Loi N°98-747 du 23 décembre 1998 modifiant et complétant le Code de procédure pénale). C’est surement un bel âge de maturité, suffisant pour permettre un retour d’expériences sur la réception de la loi par les premiers acteurs que sont les justiciables, les enquêteurs, les avocats et les magistrats. Bilan d’autant instructif qu’un règlement communautaire est venu réaffirmer le principe (Règlement N°05/CM/UEMOA relatif à l’harmonisation des règles régissant la profession d’avocat dans l’espace UEMOA).
La loi ivoirienne prévoit le droit à l’assistance d’un avocat de façon assez originale : « Toute personne contre qui il existe des indices graves et concordants de participation à une infraction, ou qui en a été victime ou qui est appelée à apporter son concours à la manifestation de la vérité, peut, au cours des enquêtes, se faire assister d’un avocat. Toutefois, à titre exceptionnel, dans les localités où il n’existe pas d’avocat, la personne peut être autorisée à se faire assister d’un parent ou d’un ami ».
La loi précise le rôle de l’avocat : « L’assistance de l’avocat consiste en sa présence physique aux côtés de son client, à relever et à faire mentionner au procès-verbal toute irrégularité éventuelle qu’il estime de nature à préjudicier aux droits de son client. Lorsque l’avocat fait des observations, il signe le procès-verbal ».
Les mots de la loi sont globalement assez sobres. Mais, même dans une matière qui se prête habituellement au détail, on sait aussi combien la sobriété peut être d’un secours de souplesse. L’avocat trouvera dans cette casuistique-même le moyen de déployer un trésor de possibilités et d’imprimer sa marque personnelle et indélébile à l’enquête dans la perspective du procès équitable.
L’enquête préfigure l’audience pénale, et les questions que posera le juge ressembleront beaucoup à celles de l’enquêteur. La question est le premier matériau qui entre dans la « reconstitution » de la vérité judiciaire. En matière pénale, aucune question n’est inconsidérée ; chaque question s’inscrit dans le cadre du « chef d’accusation » dont elle vise à dégager les « éléments constitutifs ». Les enquêteurs vous confesseront aussi que les réponses apportées gracieusement par le prévenu très émotif aux questions qu’on ne lui a pas posées sont souvent encore plus parlantes.
La défense saura s’adapter à l’espace des salles d’audition, diamétralement opposé à celui des salles d’audience. La défense saura aussi œuvrer à l’équité de la procédure en préservant, autant que possible, la légitimité de l’enquêteur. Dans cet espace minimaliste, l’essentiel du talent de l’avocat se déploiera dans la subtilité, et parfois il ne sera pas nécessaire de parler pour défendre utilement.
Toute défense pénale étant à la recherche de la cohérence – cohérence du discours en lui-même (cohérence intrinsèque), cohérence du discours avec les actes et avec les autres discours (cohérence extrinsèque) –, la meilleure défense au cours de l’enquête sera celle qui saura se projeter le plus loin dans l’anticipation de l’audience pénale.
Alimentation, tabac ou alcool peuvent modifier l’information génétique portée par les spermatozoïdes.
La science en est désormais certaine: un enfant, cela se fait… à deux! Car si l’environnement dans lequel évolue la mère est déterminant pour le développement du fœtus, on découvre depuis quelques années que «le mode de vie et l’âge du père peuvent influencer les molécules qui contrôlent les fonctions génétiques. Un père peut affecter sa descendance directe, mais aussi les générations futures», explique le Dr Joanna Kitlinska. Spécialiste en biochimie et biologie cellulaire et moléculaire à l’Université de Georgetown (Washington), elle signe dans l’American Journal of Stem Cells, une revue de littérature sur la question.
Notre patrimoine génétique ne fait pas tout. Les gènes contiennent les «mots» (l’ADN) permettant de donner à diverses molécules les ordres nécessaires au bon fonctionnement de l’organisme. Mais une autre «couche» d’information modifie la façon dont l’information sera délivrée ou interprétée, sans modifier l’ADN en lui-même. C’est ce qu’étudie l’épigénétique.
Modification de l’histone
Imaginez: vous (le gène) dites à un enfant (la cellule) «Tu manges ton assiette.» Si un bruit a masqué votre voix, l’enfant peut entendre «tu ranges ton assiette» ; c’est la «méthylation de l’ADN», dans laquelle une enzyme (type de protéine) fait «taire» un gène. Votre phrase peut aussi être prononcée selon diverses intonations (interrogation, ordre…) ; ce sont les «microARN», petits messagers qui transmettent (et parfois transforment) l’ordre de l’ADN. Enfin, si l’enfant rêve encore un peu au conte de fées que vous venez de lui lire, il pourra croire qu’il doit dévorer l’assiette elle-même ; c’est une «modification de l’histone», protéine qui empaquette l’ADN dans le noyau, censée disparaître pendant la spermatogenèse mais dont quelques-unes persistent en transportant avec elles un peu d’information génétique.
Lors de sa fabrication, le spermatozoïde est soumis à ces modifications qui seront transmises à l’enfant conçu. Mais des données épidémiologiques semblent montrer que «la période in utero, la petite enfance et l’adolescence sont des “fenêtres” pendant lesquelles l’environnement peut affecter la maturation des cellules germinales à l’origine des futurs spermatozoïdes», explique Romain Barrès, chercheur à l’Université de Copenhague et coauteur en 2015 de travaux sur des modifications dans les spermatozoïdes d’hommes obèses après chirurgie bariatrique.
Système dynamique
Ces modifications épigénétiques sont très utiles. «Contrairement au code génétique, relativement statique, c’est un système qui, à partir du même code, permet par exemple de “dire” à une cellule de foie de fabriquer du foie et pas du poumon, en faisant “taire” le gène “poumon”», explique Romain Barrès. Elles pourraient aussi donner au bébé des «armes» pour affronter le même environnement que celui de ses parents. Mais elles s’avèrent parfois superflues, voir délétères.
On sait notamment que l’âge du père au moment de la conception et les facteurs environnementaux auxquels il est ou a été exposé (alimentation, toxiques comme le tabac, irradiation, stress…) entrent en jeu. Les auteurs détaillent en particulier les travaux sur l’influence de la consommation d’alcool. Le risque d’alcoolisation fœtalechez les enfants dont la mère a bu pendant la grossesse est bien connu, et s’explique aisément par le fait que l’alcool traverse le placenta pour parvenir quasiment «intact» au fœtus. Mais par le jeu de l’épigénétique, la consommation d’alcool par le père avant la conception semble ne pas être anodine. Des études ont ainsi montré que la prise d’alcool chronique par le père pouvait entraîner chez l’enfant une cascade d’événements activant des gènes censés rester silencieux, et ce même en l’absence de toute consommation d’alcool par la mère avant et pendant la grossesse. Dans d’autres travaux, des souris dont les géniteurs avaient été exposés à l’alcool étaient plus petits à la naissance, nageaient moins bien, ou avaient du mal à apprendre de nouvelles tâches.
Je voudrais dire à M Alain Zadi que Djidji n’a pas d’école primaire , celle que nous avons tous fréquenté est l’EPP de Godieko qui a aujourd’hui 3 écoles et la 4eme a été affectée à Bricouli. Mon cri de cœur s’adressait aux ressortissants de Bricouli . Alain Zadi Djegoue qui se dit fils de Bricouli s’oppose à mon SOS je suis surpris de lire ses propos que je qualifierai de crimes intellectuels. Frères et sœurs de Bricouli unissons nous pour sauver l’école de Bricouli qui précède le développement .
Si quelqu’un vous fait un sos pour la restauration de notre groupe scolaire Godiéko, dites lui de s’adresser d’abord à ceux de nos frères et institutions qui gèrent l’argent qui nous appartient à tous.
Si vous ne connaissez pas ces personnes et ces institutions, , je vous les cite:
1/ Le COGES qui partage les frais d’inscriptions avec l’Etat de Côte d’Ivoire par l’entremise de l’inspecteur de l’enseignement primaire, un état dont on dit qu’il est en plein boom économique:
2/ Le conseil régional qui a été instauré par le président Laurent Gbagbo pour la gestion de proximité des infrastructures publiques.
Je vous apprends qu’ en l’absence de la mairie, c’est le conseil régional qui encaisse les fonds publics et laisse une partie au chef central.
3/ Le chef central qui s’occupe de la vente des terrains de construction et des droits de places sur le marché et qui garde une partie de nos fonds.
4/ Le président de la mutuelle de développement qui a confisqué pendant plus de 30 ans cette mutuelle sans initier aucune activité et sans rendre compte de sa gestion.
5/Le comité d’organisation de la fête de la sous-préfecture qui a refusé de l’organiser et de rendre compte de sa gestion de nos cotisations qui s’élèvent à 2.705.000cfa.
Si nos parents à qui ces fonds appartiennent en priorité ont peur de demander les comptes à ces personnes, je vous demande de vous abstenir de mettre la main à la poche, et j’assume ce “crime intellectuel” s’il en est un.
Je crois que c’est peut-être toi qui as mal compris mon message, car je pense exactement ce que tu as transmis comme message à Mathias Tayoro. Si mes écrits m’ont trahi, je m’en excuse. Ce que Mathias m’a rapporté de toi, c’est que le temps est trop insuffisant pour que cette fête soit réalisée le 25 août prochain,par conséquent, tu allais voir avec le comité d’organisation quand ce serait possible. C’est justement cette réponse qui me met en colère, et très en colère avec toi et je m’explique: Après tout ce qui s’est passé l’année dernière avec vous et le comité qui s’est voulu parallèle, vous , c’est à dire toi et le comité d’organisation êtes allés au village demander pardon au chef central, et là- bas, vous avez décidé que la fête soit reportée en août 2018.
Au lieu que ce message soit envoyé par qui de droit, c’est à dire le président d’organisation de la fête, c’est toi le président de notre grande mutuelle de développement qui l’as porté par écrità notre président Thomas. Lorsqu’il a reçu ton message, Thomas nous a réunis pour qu’on y donne la réponse adéquate. Le mois d’août ayant été choisi par vous, nous avons logiquement compris que c’était à nous de choisir le jour de cette fête à notre convenance. C’est ce que nous avons fait en choisissant la date du 25 août 2018 qu’il t’a envoyée. Lorsque tu as reçu cette réponse, tu as dit à Thomas de l’adresser plutôt à Jean- Louis Felane le président du comité. La réponse de Thomas a été la suivante: “Si toi qui m’as envoyé le message je te retourne la réponse de Paris, je crois avoir informé qui de droit” C’est une réponse propre, logique. Dès qu’il t’a informé de cette proposition, il l’a postée sur facebook, et moi je l’ai suivi.
C’est donc cette date du 25 août 2018 qui est connue de tous, et pour nous, vous étiez en pleine préparation de la fête pour laquelle 2.705.000 cfa ont été cotisés. Toute l’année , nous-nous sommes abstenus de tous écrits sur facebook à propos de cette fête pour ne pas servir de boucs- émissaires à un éventuel échec. On vous a donc laissés tranquilles travailler à la réalisation de notre fête jusqu’au début du mois d’août qui était choisi, mais en vain. Pas de nouvelles de la fête, et ce que nous entendons ça et là, c’est que l’argent aurait été détourné à d’autres fins. Sans preuves, je ne pouvais pas croire à cette rumeur, et je t’ai donc appelé pour en savoir plus, mais là aussi en vain. Je t’ai laissé un message, mais toujours en vain. J’ai donc dit à Mathias Tayoro d’appeler le président Felane pour en savoir plus, et voici sa réponse telle que Mathias me l’a rapportée:” Moi , je ne voulais plus converser au téléphone avec vous de Paris, car mes frères de déblé écrivent des choses sur moi pour me salir.”Quand Mathias lui a demandé où il en était avec l’organisation de la fête, voici la réponse du président du comité d’organisation Jean-Louis Kobry Felane: “Moi, je ne m’occupe plus de la fête. J’y ai mis toute mon énergie, j’ai suspendu mes activités professionnelles toute l’année dernière, et les gens ne sont pas reconnaissants, ils écrivent contre moi. Néanmoins, nous avons une réunion le samedi 7 août chez Armand Boga, et je t’appellerai pour que tu y participes en direct si tu le souhaites”. Le 7 août, aucun appel de Felane. C’est ainsi que j’ai dit à Mathias de t’appeler, ce qu’il a fait le samedi 11 août. Vous auriez causé pendant plus d’une heure d’horloge et selon Mathias, tu aurais émis un étonnement quant à une réunion qui devait avoir lieu chez toi le 7 août, car tu n’en serais pas informé. Tu aurais ajouté , toujours selon Mathias, que Felane chercherait plutôt à t’éviter, car après avoir entendu qu’il ne restait plus que 600.000cfa sur les 2.705.000 cfa, tu aurais aimé en savoir plus. Tu aurais mis l’accent sur le fait que Felane t’éviterait car il ne prendrait pas tes appels et ne répondrait pas à tes messages. Tu aurais ensuite promis de faire ce qui est possible pour que la fête se réalise à une date ultérieure, mais pas le 25 août 2018.
Ceci dit, moi je te pose quelques questions, grand frère Armand.
1/ Qu’est ce qui vous a empêché de faire cette fête cette année pour que tu parles d’une date ultérieure?
2/ Et comment le saurions nous , nous de la diaspora si Mathias ne t’avait pas appelé?
3/ Pourquoi ce silence total sur l’organisation de la fête, vous qui étiez l’année dernière régulièrement au cabinet du ministre?
Sur facebook, tu m’as bloqué, sur messenger aussi, et j’utilise donc mon forfait pour te faire des messages sur ton téléphone, mais en vain. Je te rassure que je n’ai absolument rien contre toi, mais le fait que c’est toi et le chef central qui avez non seulement imposé Felane comme président du CO, vous avez une responsabilité morale quant à un éventuel échec de cette fête. Surtout toi qui conduisais le comité au cabinet du ministre l’année dernière. Réponds nous pourquoi personne, ni au village, ni à Abidjan, ni à Paris n’entend rien de vos activités sur les préparatifs de notre fête s’il te plaît. C’est la question que tout le monde se pose et à laquelle tu devras répondre.
Cher grand frère Armand, ce que nous constatons à propos de cette fête, c’est que vous avez échoué, et cet échec est un échec personnel à toi, notre haut cadre, celui que nous respectons et sur qui nous comptons. C’est une vraie honte pour toi, et tu devras à partir d’aujourd’hui t’effacer du leadership de toutes nos activités concernant le développement de djidji, car en réalité, tu n’as de temps que pour la religion catholique et tes propres affaires, ce qui n’est pas un défaut, car on ne peut pas tout faire dans la vie. Mais ce que tout le monde souhaite plus bas et que je te dis aujourd’hui plus haut, c’est que tu dois dégager de ce poste de président de la mutuelle que tu occupes depuis 30 ans dans l’immobilisme total. C’est tout.
Salut, grand frère.
djidji.org vous livre la liste complète de différentes nominiations administratives
PRESIDENCE DE LA REPUBLIQUE
REPUBLIQUE DE COTE D’IVOIRE
Union-Oiscipline-Travail
……..
Décret n° 2018-671 du 06 août 2018
portant nomination dans les fonctions de Préfet de Région et de Préfet de Département
LE PRESIDENT DE LA RÉPUBLIQUE,
Sur rapport du Ministre de l’lntérieur et de la Sécurité,
Vu la Constitution :
Vu la loi n°61-84 du 10 avril 1961 relative au fonctionnement des Départements, des Préfectures et Sous-préfectures ;
Vu la loi n° 2002-43 du 21 janvier 2002 portant Statut du Corps Préfectoral ;
Vu la loi n°2014-451 du 05 août 2014 portant orientation de l’organisation générale de 1’Administration Territoriale ;
Vu le décret n°63-163 du 11 avril 1963 portant institution d’une indemnité représentative de frais en faveur des fonctionnaires et agents de 1’Etat occupant certains emplois, tel que modifié par le décret n° 81-642 du 05 août 1981 ;
Vu le décret n°98-740 du 22 décembre 1998 fixant les grades minima d’accès à certaines fonctions de 1’Etat :
Vu le décret n”2003-412 du 30 octobre 2003 fixant les modalités d’application de la loi n° 2002-43 du 21 janvier 2002 portant Statut du Corps Préfectoral ;
Vu le décret n” 2011-263 du 28 septembre 2011 portant organisation du territoire national en Districts et en Régions ;
Vu le décret n°2011-388 du 16 novembre 2011 portant organisation du Ministère d’Etat, Ministère de l’intérieur ;
Vu le décret n° 2016-1141 du 21 décembre 2016 modifiant et complétant l’annexe au décret n° 2015-432 du 10 juin 2015 portant classification des grades et emplois dans 1’Administration de 1’Etat et dans les Établissements Publics Nationaux :
Vu le décret n° 2018-614 du 04 juillet portant nomination du Premier Ministre, Chef du Gouvernement ;
Vu le décret n” 2018-617 du 10 juillet 2018 portant nomination du Premier Ministre, Chef du Gouvernement, en qualité de Ministre du Budget et du Portefeuille de 1’Etat;
N’2 1800685
Le Conseil des Ministres entendu,
DECRETE:
Article l: Sont nommés dans les fonctions de Préfet de Région, les membres du Corps Préfectoral ci-après désignés :
SIHINDOU COULIBALY, Matricule 242 739 Q, Grade l, 3′ échelon
REGION DU SUD-COMOE
Préfet du Département de Tiapoum
VAKABA KONE , Matricule 127 235 L, Grade Il, 1″ échelon
REGION DU TCHOLOGO
Préfet du Département de Ouangolodougou
SORl JEAN PIERRE, Matricule 245 159 N, Grade Il, 2′ échelon
REGION DU TONKPI
Préfet du Département de Sipilou
DJIKE RAYMOND CLAUDE, 252 130 C, Grade l, 2″ échelon
4
Article 3 : Les Préfets de Département et les Préfets de Région ci-dessus nommés bénéficieront, pour compter de la date de leur prise de service, des indemnités et avantages attachés à leurs grades et fonctions.
Article 4: Le Ministre de l’lntérieur et de la Sécurité, le Ministre de 1’Economie et des Finances et le Secrétaire d’Etat auprès du Premier Ministre chargé du Budget et du Portefeuille de 1’Etat assurent, chacun en ce qui le concerne, l’exécution du présent décret qui sera publié au Journal Officiel de la République de Côte d’ivoire.
Fait à Abidjan, le 06 août 2018
Alassane OUATTARA
PRESIDENCE DE LA REPUBLIQUE REPUBLIQUE DE COTE D’IVOIRE
Union-Discipline-Travail
Décret n° 2018-672 du 06 août 2018
portant nomination dans les fonctions de Secrétaire
Générai de Préfecture
LE PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE,
Sur rapport du Ministre de l’intérieur et de la Sécurité,
Vu la Constitution ;
Vu la loi n°61-84 du 10 avril 1961 relative au fonctionnement des Départements, des
Préfectures et Sous-préfectures :
Vu la loi n° 2002-43 du 21 janvier 2002 portant Statut du Corps Préfectoral ;
Vu la loi n°2014-451 du 05 août 2014 portant orientation de l’organisation générale de 1’Administration Territoriale ;
Vu le décret n”63-163 du 11 avril 1963 portant institution d’une indemnité représentative de frais en faveur des fonctionnaires et agents de 1’Etat occupant certains emplois, tel que modifié par le décret n° 81-642 du 05 août 1981 ;
Vu le décret n°93-608 du 02 juillet 1993 portant classification des grades et emplois dans 1’Administration de 1’Etat et dans les Établissements Publics Nationaux ;
Vu le décret n°98-740 du 22 décembre 1998 fixant les grades minima d’accès à certaines fonctions de 1’Etat ;
Vu le décret n”2003-412 du 30 octobre 2003 fixant les modalités d’application de la loi n” 2002-43 du 21 janvier 2002 portant Statut du Corps Préfectoral :
Vu le décret n°2011-263 du 28 septembre 2011 portant organisation du territoire national en Districts et en Régions ;
Vu le décret n°2011-388 du 16 novembre 2011 portant organisation du Ministère d’Etat, Ministère de l’intérieur ;
Vu le décret n° 2016-1141 du 21 .décembre 2016 modifiant et complétant l’annexe au décret n° 2015-432 du 10 juin 2015 portant classification des grades et emplois dans 1’Administration de 1’Etat et dans les Etablissements Publics Nationaux ;
Vu le décret n° 2018-614 du 04 juillet portant nomination du Premier Ministre, Chef du Gouvernement :
Né 1800686
Vu le décret n° 2018-617 du 10 juillet 2018 portant nomination du Premier Ministre, Chef du Gouvernement, en qualité de Ministre du Budget et du Portefeuille de
I’Etat ;
Vu le décret n° 2018-618 du 10 juillet 2018 portant nomination des Membres du
Gouvernement ;
Vu le décret n°2018-648 du 1″ août 2018 portant attributions des Membres du
Gouvernement :
Le Conseil des Ministres entendu,
DECRETE:
Article l: Sont nommés dans les fonctions de Secrétaire Général de Préfecture, les membres du Corps Préfectoral ci-après désignés :
DISTRICT AUTONOME D’ABIDJAN
Département d’Abidjan
Secrétaire Général de Préfecture
DOUMBIA ADAMA, Matricule 275 882 S Grade Il, 2′ échelon
OBOU BOKOLO AIME, Matricule 202 263 L, Grade Il, 2′ échelon Département de Kong
Secrétaire Général de Préfecture
GOUA BI LEZIE, Matricule 275 885 V, Grade Il, 2’ échelon
4
Article 2 : Les Secrétaires Généraux de Préfecture ci-dessus nommés bénéficieront, pour compter de la date de leur prise de service, des indemnités et avantages attachés à leurs grades et fonctions.
Article 3 : Le Ministre de l’intérieur et de la Sécurité, le Ministre de 1’Economie et des Finances et le Secrétaire d’Etat auprès du Premier Ministre chargé du Budget et du Portefeuille de 1’Etat assurent, chacun en ce qui le concerne, l’exécution du présent décret qui sera publié au journal Ofhciel de la République de Côte d’ivoire.
Fait à Abidjan, le 06 août 2018
Alassane OUATTARA
PRESIDENCE DE LA REPUBLIQUE REPUBLIQUE DE COTE D’IVOIRE
Union-Discipline-Travail
……_.
‘ Décret n° 2018-673 du 06 août 2018
portant nomination dans les fonctions de Sous-Préfet
LE PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE,
Sur rapport du Ministre de l’intérieur et de la Sécurité,
Vu la Constitution ;
Vu la loi n°61-84 du 10 avril 1961 relative au fonctionnement des Départements, des Préfectures et Sous-préfectures ;
Vu la loi n° 2002-43 du 21 janvier 2002 portant Statut du Corps Préfectoral :
Vu la loi n°2014-451 du 05 août 2014 portant orientation de l’organisation générale de 1’Administration Territoriale ;
Vu le décret n°63-163 du 11 avril 1963 portant institution d’une indemnité représentative de frais en faveur des fonctionnaires et agents de 1’Etat occupant certains emplois, tel que modifié par le décret n° 81-642 du 05 août 1981:
Vu le décret n”98-740 du 22 décembre 1998 fixant les grades minima d’accès à certaines fonctions de 1’Etat ;
Vu le décret n°2003-412 du 30 octobre 2003 fixant les modalités d’application de la loi n” 2002-43 du 21 janvier 2002 portant Statut du Corps Préfectoral ;
Vu le décret n”2011-263 du 28 septembre 2011 portant organisation du territoire national en Districts et en Régions ;
Vu le décret n’2011-388 du 16 novembre 2011 portant organisation du Ministère d’Etat, Ministère de l’intérieur ;
Vu le décret n° 2016-1141 du 21 décembre 2016 modifiant et complétant l’annexe au décret n° 2015-432 du 10 juin 2015 portant classification des grades et emplois dans 1’Administration de 1’Etat et dans les Établissements Publics Nationaux ;
Vu le décret n° 2018-614 du 04 juillet portant nomination du Premier Ministre,
Chef du Gouvernement ;
NC 1800687
Vu le décret n° 2018-617 du 10 juillet 2018 portant nomination du Premier Ministre, Chef du Gouvernement, en qualité de Ministre du Budget et du Portefeuille de 1’Etat;
Vu le décret n° 2018-618 du 10 juillet 2018 portant nomination des Membres du
Gouvernement ;
Vu le décret n°2018-648 du 1″ août 2018 portant attributions des Membres du
Gouvernement ;
Le Conseil des Ministres entendu,
DECRETE:
Article 1 : Sont nommés dans les fonctions de Sous-Préfet, les Administrateurs Civils ci-après désignés :
Département d’Abidjan
Sous-préfet de Brofodoumé
DAN YOLANDE SYLVIE, Matricule 319 773 P, Grade Il, 1″ échelon
Article 2 : Les Administrateurs CMS ncmmés pour la première fois dans les fonctions de Sous-Préfet, sont ir,mré$ iu Grade 111 1″ échelon du Corps Préfectoral.
Article 3 : Les Sous-Préfets ci-dessus nommés bénéficieront, pour compter de la date de leur prise de service, des indemnités et avantages attachés à leurs grade et fonctions.
Article 4: Le Ministre de l’intérieur et de la Sécurité, le Ministre de 1’Economie et des Finances et le Secrétaire d’Etat auprès du Premier Ministre chargé du Budget et du Portefeuille de 1’Etat assurent, chacun en ce qui le concerne, l’exécution du présent décret qui sera publié au Journal Officiel de la République de Côte d’ivoire.
Suite aux investigations menées auprès des parties concernées, il ressort ce qui suit:
Les Faits:
Contrairement aux déclarations du président du comité d’organisation, la visite rendue au président Armand Dido n’avait pas pour ordre du jour le règlement du différend électoral, mais plutôt la future rencontre des jeunes du grand ziki avec tous les cadres de la région le 14 avril 2018 prochain au baron de yopougon, à l’initiative du président de cette jeunesse. L’absence du président Téa Nanégnon et les autres membres de la délégation sur cette photo est donc ni plus, ni moins, une manipulation de la part de son initiateur.
La question électorale, selon le président Armand Dido, n’a été abordée que de manière subsidiaire, et ce dernier a dit avoir sollicité le président Nanégnon pour la résoudre en appelant les deux parties à une assemblée. Le président de la jeunesse du grand ziki nous a dit avoir accepté volontiers de remplir ladite mission afin de ramener le calme dans la maison de la jeunesse de djidji sous- préfecture.
Toujours selon le président de la mutuelle de développement de djdji, il n’a jamais été question d’une quelconque certification en tant que telle de sa part, car cela suppose qu’il aurait signé un document à cet effet.
LA POSITION FINALE DE LA MEDIATION.
–Nous , trio médiateur volontaire de la diaspora,désapprouvons avec fermeté l’action de manipulation menée par le président Eric Kodo éclair.
-Demandons avec tout le respect que nous vouons à sa personne et à sa fonction , au président Armand Dido, de bien vouloir réunir les deux camps pour mettre fin au conflit, car non seulement lui et lui seul jouit de la neutralité incontestée à nos yeux dans cette affaire,étant donné que le président NAnégnon et les autres sont suspectés par les contestataires d”être complices du président du CO, mais cette affaire relève bel et bien de sa compétence et de sa responsabilité.
– Tout en les remerciant d’avoir accepté de régler le différend, nous en appelons aux frères et soeurs qui ne sont pas de djidji de bien vouloir s’abstenir de toute intervention, et ce, pour des raisons de souveraineté dont jouit notre sous- préfecture.-
En clair, nous pensons qu’un tel problème n’est pas insurmontable chez nous à djidji pour qu’on fasse appel à une instance extérieure.
-Demandons à nos jeunes de dominer leur orgueil pour accepter la décision qui sera prise par le président Armand Dido quelle qu’elle sera..
-Demandons enfin au président Eric Kodo Eclair de mettre fin à ses commentaires sur facebook qui sont de nature à aggraver la situation, parce que provocateurs.
A travers vos interventions, je sens qu il y a une certaine motivation pour le développement de votre région et nous en sommes heureux. Malheureusement cela se fait un peu dans le désordre, les intrigues et les insultes. Le Face est un outil d’échanges certes contracditoires mais constructifs, respectueux et véridiques.
Rencontrez-vous, asseyez-vous et discutez dans un esprit franc sans mesquineries. J’ajoute qu’étant le collaborateur direct de M. Dido Boga Armand, président de notre mutuelle, il n’a pas encore donné une caution a une quelconque mutuelle de jeunesse de Djidji.
Il a recu à son domicile à Cocody M. Nanégnon et sa suite pour une invitation pour la fête du 14 avril au Baron. Donc rien de plus. Il suit avec nous la situation et les jours qui viennent il saura interpeller les uns et les autres pour un apaisement et pour une solution qui va satisfaire le monde de la jeunesse. Merci pour votre compréhension.
Le 16 juillet 2017 à Port Jefferson dans le Long Island, un golden retriever sauve un bébé chevreuil de la noyade ! En effet, le chien a vu un faon en difficulté dans l’eau. Il a alors sauté et a attrapé l’animal par le cou avant de le ramener sur le rivage !
Présidentielle françaiseLe candidat d’En Marche ! domine largement Marine Le Pen, selon les premiers résultats. Tribune de Genève
Image: Keystone.
Les premières tendances donnent Macron vainqueur aux Etats-Unis avec près de 93 % . Marine Le Pen, quant à elle, suscite le faible score de 7 %.
A New York, la participation a atteint les 52,56% (28 063 inscrits, 14 749 votants). Emmanuel Macron est largement en tête, avec près de 94,7% des voix, contre 5,3% pour Marine Le Pen.
A Chicago, la participation avoisine les 44% (3 300 votants), avec un résultat de 92% pour le représentant d’En Marche!, contre seulement 8% pour la leadeuse du Front-National.
A Boston, on compte une participation de 49% (contre 44% au premier tour, 4 000 votants), avec 95,7 % des voix pour Emmanuel Macron et 4,3% pour Marine Le Pen.
Canada
Emmanuel Macron recueille 90% des suffrages à Ottawa et à Montréal ( au premier tour il avait enregistré dans ces deux villes 47 et 35% des voix respectivement). Montréal compte 45 000 inscrits.
Le taux de participation à Montréal s’élève à 45% et 60% à Ottawa, ce qui représente une progression de 3 points par rapport au premier tour. La pluie tombée en abondance ce jour a sans doute en partie aidé à ce bon taux de participation. L’ouverture d’un unique bureau de vote à Montréal à cause de la législation canadienne a encore créé des files d’attente très longues (de 2 à 3h).
Résultats en Outre-Mer :
StPM : 63,3 % pour Emmanuel Macron, 36,7 % pour Marine Le Pen
St Barth : 58,4 % pour Emmanuel Macron, 41,6 % pour Marine Le Pen
St Martin : 67,6 % pour Emmanuel Macron, 32,4 % pour Marine Le Pen
Guadeloupe : 75,1 % pour Emmanuel Macron, 24,9 % pour Marine Le Pen
Martinique : 77,5 % pour Emmanuel Macron, 22,5 % pour Marine Le Pen.
Guyane : 65% pour Emmanuel Macron, 35 % pour Marine Le Pen