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L’inauguration était placée sous le haut parrainage du président de la mutuelle représenté par M. Ouaga Brice. Elle s’est déroulée au quartier commerce, près du grand marché.
La propriétaire n’est autre que la dynamique et généreuse française Adjoua Clarisse de Grenoble, originaire de Djidji-Godiéko.
Djidji lui adresse ses félicitations !
Poème : sur la montagne
Sur la terre un jour assombri.
Sur la terre un jour incertain.
Et où le soleil sommeille encore.
Ce jour,sans notre soleil qui dort..
Dans cette nuit noire encombrante.
Le vent s’élance, s’évade dans le silence.
Au loin, j’observe mon printemps.
Qui s’éloigne prier vers l’inconnu.
Suivant la voix qui l’appel encore.
Sur la terre un jour assombri.
Sur notre terre un jour incertain.
Et où le soleil sommeille encore.
J’observe mon Printemps en prière.
Qui s’en est allé dans le sanctuaire.
Malgré le vent qui souffle, souffle.
Malgré le tonnerre qui s’énerve, énervé.
Au loin elle s’en est allé dans l’inconnu.
En me laissant, m’oubliant encore.
Sur la terre un jour assombri.
Sur notre terre un jour incertain.
Parti sur la montagne de nos aïeux.
Dans le sanctuaire sur la montagne.
A la rencontre de El – SANDDAï.
Du DIEU de l’impossible, tout puissant.
Tu y resteras à son écoute longtemps.
Car il est ton Jéhovah-jire’.
Le DIEU qui pourvoit toujours.
Et qui donne suffisamment encore.
Sur la terre un jour assombri.
Sur la terre un jour incertain.
Et revoilà mon printemps transfigurée.
Comme notre Moïse au Mont Sinaï.
Elle me revient après des prières.
Après des moments de silence.
Comme une chanson qui s’en est allé.
Et qui revient de loin comme un refrain.
Les décisions prises de la cojel.
1- Dissolution de l’UAGG
2- Annulation de l’investiture du président Bebeto
3-Une AG pour la paix
Le secrétaire à l’organisation de l’Afadel Francis Bago vient de faire un poste pour le report de l’investiture du président Gnaga Bebeto qui devrait avoir lieu ce samedi 11 septembre 2021 au maquis Odida.
La cojel étant satisfaite, elle félicite l’Afadel et son président d’honorer les décisions prises par les leaders et présente les excuses pour les manquements.
On ne règle pas les problèmes dans l’euphorisme et colère car on ne pourra pas manger les patates chaudes.
Il faut savoir se retirer pour mieux sauter.
La cojel présente les excuses au parrain de la cérémonie Me Djiriga Amos Gnakouri et au responsable du maquis Odida David Gohi pour les désagréments et l’annulation de la cérémonie de l’investiture.
Nous félicitons et appelons aux deux présidents Gatto et Bebeto à la raison et à la cohésion car ils sont les représentants des artistes.
Nous présentons les excuses des artistes à tout Lakota pour leur mésentente.
Merci et ensemble on est fort et on ira très loin.
Le vice président de la cojel chargé des associations.
Président Mangou Premier
Clement Tetehi PRÉSIDENT DE GNG
Depuis mercredi nous observons beaucoup de messages et même des accusations ça et là paraport à la rencontre des artistes qui avait pour but de ramener la paix.
Il es important de rappeler que cette rencontre n’est pas la première du genre. En 2020 il y’a eu cette même rencontre avec nos artistes pour la paix. Alors que nous avons pensé que la paix était revenue nous sommes encore tombés dans les palabres.
Cette fois ,Alain Djiz prend l’initiative en nous invitant en tant que Leaders de la région pour essayer de régler définitivement cette question de l’Association des Artistes du Grand Guebié ( UAGG) mais également le problème de mandat de l’actuel président de l’AFADEL qui divisent. Prenant la parole en tant que rédacteur des textes de L’AFADEL j’ai expliqué les textes de L’AFADEL sur ces deux questions et j’ai dit ce qu’il fallait selon les textes car pour moi la solution viendrait des textes ou soit de l’AG, organe suprême de l’association.
Je l’ai fait et j’ai donné mon avis entant qu’invité et initiateur de la rencontre car j’estime que la dernière décision revenait à l’initiateur.
Dans le débat il fallait que chacun des deux clans fasse des concessions,des sacrifices car dit-on : “on ne peut faire des omelettes sans casser les œufs”. Les membres fondateurs de l’ UAGG ont accepté sa dissolution. Il restait donc la question du mandat de l’actuel président de l’AFADEL. Alors que j’avais dit qu’il fallait dissoudre L’UAGG , appeler à une AG pour soit organiser les élections inclusives ou voir si l’AG organe suprême pouvait donner quitus à l’actuel président de finir son mandat qu’il a entamé sans élection. Nous avons passé tout le temps à nous fustrer, à nous insulter et manquer de respect aux uns et aux autres.
Fustré, l’initiateur de la rencontre a préféré mettre fin à tout débat ,en leur demandant de revenir à de meilleurs sentiments.
Depuis un moment notre génération est résolument tournée vers l’unité et la solidarité avec cette Confédération qui m’a été confiée dont fait partie l’AFADEL.
Nous ne pouvons pas et nous ne devons pas mettre en mal l’unité et la paix entre nous car notre peuple a déjà trop souffert de manque d’unité entre ses enfants.
Pour nous, aucune fête, aucune investiture n’est plus importante que l’unité et la paix entre les enfants de notre région.
Pour donner la chance à l’unité et la paix entre nos artistes ,vu les textes de L’AFADEL et vu les différentes propositions de la concertation du mercredi passé nous décidons que :
1- L’UAGG est dissoute
2- L’investiture prévue ce samedi 11 est annulée.
3- Dans les jours à venir une AG seul organe suprême de L’AFADEL sera convoquée pour parler de la vie de la structure.
Pour l’unité et la paix faisons des sacrifices car comme le disait Houphouet Boigny :
” Il est plus facile de faire la guerre que de faire la paix”.
PDT JEAN MERMOZ TOTY
CONFÉDÉRATION DES ORGANISATIONS DE JEUNESSE ET LEADERS DU LÔH-DJIBOUA.
Qui disait que GAGNOA était bourré de machos ? Non et Non ! La preuve, une référence aussi pointue que le DJADJOH CARNAVAL, évènement culturel qui repose sur les us et coutumes de notre région est dirigé par une femme. C’est vous dire combien de fois celle qui conduit la destinée de ce retour aux sources est d’une valeur nettement au dessus de la moyenne.
Très calme comme une eau dormante, le travail qu’elle abat est aussi solide et efficace à l’image des moulinets que déploie le canard avec ses pattes sous l’eau. Oui à le voir avancer dans la marre, quelle charme et quelle calme ! Le DJADJOH lui doit sa longévité mais aussi sa crédibilité qui honorent tout le GOH.
La 6ème édition qui aura lieu du 02 au 04 DÉCEMBRE 2021 sera vraiment d’un niveau supérieur, Mme KOFFI nous en a fait la promesse. Plus que jamais le maire ISSOUF DIABATE auréolé de sa double cascette de député-maire est déterminé à faire de ce DJADJOH la fine fleur qui met la baume aux cœurs de ses administrés mais aussi et surtout ses visiteurs.
Ensemble, nous enfants du GOH, accompagnons Carine LOGBO epouse KOFFI dans cette mission qui va définitivement placer GAGNOA sur l’orbite de la culture.
24 novembre 2020
La dot sanctionne essentiellement les rapports de paternité présents ou à venir qui s’établissent entre le mari et les enfants de son épouse. En principe, et ce principe est général et respecté, le père d’un enfant est celui qui a versé la dot pour la mère de cet enfant. L. Tauxier, le coutumier Gouro de 1933, la jurisprudence du tribunal coutumier de Bouaflé sont tous d’accord sur ce point qui a été confirmé par nos propres enquêtes.
Un enfant né d’une femme non dotée sera donc revendiqué par sa famille maternelle et élevé par le frère de sa mère. La dot est donc associée au régime patrilinéaire et, inversement, son absence introduit les conditions du matrilignage.
Ainsi, les N’Goï, qui émigrèrent du pays Baoulé, abandonnèrent le système matrilinéaire en adoptant la coutume de la dot, ce par quoi, disent-ils, ils devinrent des Gouro. Désormais, quand ils épousent une femme baoulé, ils versent la dot pour « garder les enfants » tandis qu’un Baoulé épousant une femme gouro se plie à la même coutume et acquiert la paternité de sa progéniture;
2. Cette relation entre dot et filiation paternelle commande les rapports matrimoniaux sous leurs divers aspects.
Un homme peut donner une femme à marier sans dot afin de garder les enfants dans son lignage. Nous en avons donné un exemple à propos du regroupement de Dhéra (Tianou). Le divorce, qui est fréquent, se règle selon le même principe. Si la femme quitte son mari avant d’avoir eu des enfants, le nouvel époux — car en général une femme ne divorce que pour se remarier — doit rembourser au premier la totalité des versements que celui-ci a faits à sa belle-famille. Il ne rembourse d’ailleurs que l’intégralité de cette somme sans y ajouter un surplus quelconque. Si la femme a déjà eu un ou plusieurs enfants, ceux-ci demeureront avec leur père, à moins qu’il n’exige le remboursement de la dot, auquel cas ils reviendront soit à la famille de la femme, si c’est celle-ci qui a procédé au remboursement, soit au nouveau mari. Lorsqu’une femme meurt sans enfants, ses parents sont tenus de proposer au veuf une autre épouse — une femme qui n’a pas encore été mariée. Si elle en était incapable, la dot serait reversée intégralement. Si, par contre, la femme meurt en laissant une progéniture, le mari peut en garder la paternité, mais il ne peut plus exiger le remboursement de la dot. Le montant versé correspondra alors à la durée réelle et effective du mariage. Enfin, tous les enfants d’une femme qui, ayant quitté son mari, vit avec un autre homme, seront considérés comme étant ceux du premier mari tant que la dot n’aura pas été remboursée par le nouvel époux.
Les affaires de remboursement de dot, qui sont en réalité des affaires de dévolution de paternité, sont l’essentiel des procès qui ont lieu entre Gouro, car si les principes sont généralement admis, la codification de leur application est pratiquement inexistante. Chaque cas redevient un cas particulier.
A côté du régime dotal, qui représente l’institutionnalisation des rapports matrimoniaux, il existait une situation de fait qui était l’enlèvement des femmes, ou, en d’autres termes, le mariage patrilinéaire mais sans dot. Ces enlèvements avaient heu parfois au sein d’une collectivité ou d’une alliance politique, comme le village ou la tribu, ou entre tribus alliées ; auquel cas, ils étaient régularisés après débats, soit par le versement de la dot, soit par le retour de la femme auprès de sa famille ou de son époux. Si l’enlèvement avait heu entre groupes non alliés, il était le signal d’une guerre.
4. Quand l’issue de la guerre n’était pas décisive, et si la femme demeurée auprès de son ravisseur mettait un enfant au monde, cette naissance était l’occasion d’une nouvelle guerre. Tout ce qui précède montre que la dot, en étant associée à la filiation paternelle, est également liée à la fécondité de la femme. Le processus dure à peu près tout le temps de la période féconde de l’épouse. Les Gouro disent en général que les versements ne se terminent qu’à la mort des parents de celle-ci. Les différents moments de ces versements sont demeurés aujourd’hui les mêmes que du temps des anciens. Leur contenu par contre s’est considérablement modifié. La monnaie européenne s’est substituée aux bro et représente maintenant la quasi-totalité de la dot. Les ivoires, les esclaves, l’or, les fusils ont disparu. Le petit bétail remplace le gros et les pagnes tendent eux aussi à disparaître. On sollicitait autrefois la jeune fille en remettant cinq à dix paquets de bro et quelques pagnes à son gardien, le doyen de la communauté de la fiancée, ainsi qu’un cabri et d’autres variétés de pagnes (comme par exemple le dâgo) à la mère.
Lorsque la demande était agréée, le futur époux était tenu de fournir quelques journées de travail sur les champs de la communauté de sa belle-famille en répondant au bo. Si le fiancé était déjà chef de famille, il y envoyait quelques-uns de ses dépendants. S’il s’agissait d’un jeune homme, il accomplissait lui-même ces travaux en se faisant accompagner de ses amis, et plus il était capable d’entraîner de monde sur les champs de son futur beau-père, plus il était apprécié. Pour obtenir le droit de vivre avec la femme, il fallait encore remettre un ou deux bœufs ou, à défaut, du petit bétail. On pouvait encore faire quelques cadeaux à l’occasion de la naissance du premier enfant (par exemple cinq dāgo, un cabri, un sofrolo, un kamatie), mais ceci n’était pas partout la coutume. Lors de différents événements survenant dans le lignage allié, le mari devait remettre de nouveaux présents sur lesquels on s’était parfois entendu au préalable. L’époux était libre d’ajouter quelques cadeaux aux versements convenus, s’il était particulièrement satisfait de ses rapports avec sa femme et ses alliés, ou s’il désirait manifester son opulence et sa munificence.
Ces occasions étaient surtout les funérailles d’un des membres de la communauté de l’épouse, dans une moindre mesure, la maladie d’un de ses parents, le mariage des neveux maternels, auxquels l’oncle remettait quelques éléments de la dot, ou leur accession à un statut supérieur, etc. Lors des funérailles, par exemple, l’époux apportait autrefois comme présent de l’or, de nouveaux pagnes, un esclave ou un fusil, de la poudre, des objets d’ivoire et divers produits appréciés comme le sel. Aujourd’hui, il apporte presque exclusivement de l’argent. En définitive, le montant de ces présents variait beaucoup en fonction du statut social de l’époux, donc de sa richesse. Un homme de condition inférieure pouvait se trouver dans l’incapacité de remettre certains de ces présents. Ce pouvait être le cas d’un nouveau venu, étranger au village. On prévoyait dans ces cas des prestations de travail susceptibles de durer plusieurs années. L’époux cultivait les champs de la communauté de sa femme, offrait du gibier ou le produit de sa pêche, abattait et saignait les palmiers, etc. Il devenait l’obligé de son beau-père. Mais quel que fût son rang, il était toujours tenu, affirme-t-on, de fournir de 50 à 200 bro, 4 ou 5 pagnes et du petit bétail lors de sa demande, et d’autres cadeaux importants à l’occasion des funérailles. L’incapacité de remplir ces obligations entraînait généralement le divorce. L’épouse, retournée dans son village à l’occasion d’un décès ou de la maladie d’un de ses parents, y demeurait jusqu’à ce que le mari soit venu faire les cadeaux d’usage en quantité suffisante. S’il tardait, on lui envoyait un émissaire pour le rappeler à ses devoirs, et s’il tardait trop, on considérait le mariage comme rompu et l’on cherchait un autre époux pour la femme.
Dans ces conditions, on dit que l’homme pauvre, celui qui n’a pas de biens ni de protecteur capable de verser pour lui la dot, ne pouvait être marié. Tous les versements de la dot sont très précisément mémorisés, et certains en tiennent aujourd’hui le compte par écrit, tout au moins tout le temps que les rapports de filiation risquent d’être remis en cause par un divorce et qu’un remboursement demeure exigible. Ces restitutions sont parfois très tardives et la filiation définitive d’un individu peut n’être réglée que plusieurs dizaines d’années après sa naissance.
A Bazré par exemple, Kaku bi Libue qui était recensé en 1955 dans le goniwuo de Diazramô, retourna en 1958 dans celui de Grizramô après que la dot de sa mère fut versée aux trois aînés de Diazramô. Libue avait alors près de 40 ans.
De ce qui précède, deux caractéristiques de la dot se dégagent : la dot traditionnelle est toujours composée de plusieurs biens et ces biens sont très précisément ceux que l’on cite comme composant la richesse des aînés ; la dot, par son importance comme par sa composition, est hors de portée des individus dépendants, tenus par leur statut de remettre le produit de leur travail à leur aîné. Ces derniers sont donc les seuls capables d’engager des rapports matrimoniaux. La possession des richesses leur permet de se marier eux-mêmes et d’avoir plusieurs épouses. Les autres dépendent d’eux pour obtenir femme. Là réside la principale source d’autorité des anciens. Les hommes qui travaillent pour l’aîné sont aussi ceux pour qui il doit verser la dot (à Bazré on appelle parfois le groupe de parenté restreint anefend : ceux que je dote).
Les obligations de travail occasionnelles que nous avons examinées précédemment s’accompagnent aussi d’une contribution du bénéficiaire à la dot. Pour se marier, le jeune homme devra donc avoir recours en premier lieu à son aîné, et accessoirement à ceux de ses parents vis-à-vis desquels il aura des obligations de travail. Il ne pourra fournir lui-même que les prestations de travail exigées par ses futurs beaux-parents et parfois un pagne qu’il aura tissé avec l’écheveau filé et donné par sa mère ou une sœur. Par le truchement de la dot, qui établit les rapports de filiation et de dépendance, la richesse se trouve être ainsi l’agent nécessaire à l’établissement des relations sociales fondamentales.
Il est tout à fait naturel pour nous de vouloir préserver et protéger les aliments que nous achetons. Dans cet esprit, nous pensons toujours que la meilleure façon de le faire est de les mettre dans nos réfrigérateurs. Cependant, il y a certains aliments qui ne devraient jamais être placés dans le réfrigérateur. Ci-dessous, nous avons dressé une liste exhaustive de ces aliments. Les résultats peuvent vous surprendre.
Parce qu’ils maintiennent mieux les éléments nutritifs à l’extérieur du réfrigérateur, les bananes ne devraient jamais être placées à l’intérieur du réfrigérateur. Les bananes sont mieux conservées à l’air libre jusqu’à ce qu’elles mûrissent. Les températures froides ralentissent effectivement le processus de maturation des bananes.
Les pommes de terres doivent être placées dans un endroit frais, sec et sombre. En raison des températures froides du réfrigérateur, l’amidon peut se transformer en sucre plus rapidement. A cause de cela, il est préférable de les garder à l’extérieur du frigo. Il est également recommandé que les pommes de terre soient retirées des sacs en plastique ou en papier, dans lesquelles elles peuvent avoir été placées. De plus, gardez-les non lavées, dans une boîte en carton bien aérée.
Placer vos oignons à l’intérieur de votre réfrigérateur va finir par les rendre moisis et doux. Les oignons pelés doivent être gardés hors du sac en plastique ou d’un réfrigérateur. Une des raisons qui explique cela est que les oignons pelés doivent être exposés à l’air pour une durée de vie maximale. Si vous avez un oignon bien pelé, alors vous devriez le conserver dans le réfrigérateur, dans un récipient couvert.
Si vous avez acheté un avocat qui ne mûrit pas, vous ne devriez pas le placer dans votre réfrigérateur. Comme ils auront besoin de temps pour mûrir, en les gardant dans le froid, vous allez les bloquer et empêcher ce processus. En outre, vous ne devriez placer l’avocat dans votre réfrigérateur que s’il est déjà mûr et que vous ne souhaitez pas le manger tout de suite.
Croyez-le ou non, l’ail risque de germer en le plaçant dans votre réfrigérateur. L’ail sera également moisis et même caoutchouteux. De plus, à l’intérieur de votre réfrigérateur, l’aspect de l’ail va rarement changer. Cela signifie que vous ne serez pas en mesure de dire s’il est tout bon jusqu’à ce que vous le tranchiez.
Rien ne se dessèche plus vite que le pain dans votre réfrigérateur. Dans le cas où vous avez préparé des sandwichs avec le pain, alors vous pouvez les placer dans le réfrigérateur. La température froide rendra le pain dur et caoutchouteux. En outre, le pain deviendra rassis.
Étant donné que le café moulu et les haricots exigent des endroits frais, secs et sombres pour conserver leur saveur et leur fraîcheur, le réfrigérateur n’est pas l’endroit idéal pour eux. Le café et les haricots ont également besoin d’un contenant hermétique. Si vous avez de grandes quantités de café que vous ne pourrez pas utiliser tout de suite, alors vous pouvez les congeler. Assurez-vous d’emballer le café dans des sacs hermétiques.
Mettre les tomates dans le réfrigérateur leur fait perdre la totalité de leur saveur. De plus, l’air froid dans le refroidisseur arrête le processus de maturation. La maturation est ce qui donne à chaque tomate plus de goût et de saveur. Aussi, la température froide du réfrigérateur va modifier la texture des tomates. Enfin, selon Le Food and Cooking Harold McGee, la froideur décompose les membranes dans les parois de fruit,. Pour de meilleurs résultats, gardez les tomates à l’intérieur d’un panier ou d’un bol.
Tant que vous le gardez dans un endroit bien scellé, le miel restera bon presque toujours. Par conséquent, le stocker dans votre réfrigérateur n’a pas de sens. Le miel est un aliment qui se conserve naturellement de sorte qu’il n’a pas besoin d’aide de notre part. Assez ironiquement, le fait de placer le miel dans votre réfrigérateur va en fait accélérer le processus de cristallisation du sucre. En résultat, le miel prendra une forme presque pâteuse. Ainsi, il deviendra plus dur et quasiment plus comestible.
Si vous n’avez pas découpé vos melons, alors il est inutile de les placer dans votre réfrigérateur. Des recherches ont démontré que le stockage des melons à une température ambiante, aura pour effet, de maintenir les niveaux d’antioxydants. En outre, les melons perdent une partie de leur teneur en bêta-carotène. Gardez à l’esprit cependant, que les recherches portaient sur des melons entiers. Les melons en tranches peuvent être placés dans un réfrigérateur, mais doivent être couverts.
Les citrouilles ne doivent jamais être placées à l’intérieur d’un réfrigérateur. Les citrouilles doivent être placées dans un endroit bien aéré. L’emplacement doit également être sombre, frais et sec. Les étagères inférieures sont des endroits parfaits pour les citrouilles.
Si vous stockez de l’huile d’olive dans un réfrigérateur, elle se condensera, elle ne doit donc jamais être placé dans un frigo. Au lieu de cela, mettez l’huile d’olive dans endroit sombre et frais. Sinon, votre huile d’olive risque d’avoir une densité analogue au beurre.
La réfrigération fera flétrir le basilic beaucoup plus vite que la normale. Le basilic peut absorber des odeurs des autres aliments près de lui. Traitez votre basilic de la même manière que vous traiteriez des fleurs. Gardez-le à l’extérieur de votre réfrigérateur et laissez-le reposer dans une tasse d’eau douce. Faites-le blanchir d’abord, puis congelez-le.
Les Kiwi, les abricots, les mangues, les prunes et les pêches peuvent aussi perdre leurs éléments nutritifs s’ils sont placés dans un réfrigérateur. Pour éviter que les températures froides du réfrigérateur brisent les membranes des fruits, placez-les dans un endroit sec et frais.
Le cornichon se trouve souvent dans les réfrigérateurs, mais pour votre information laissez-le à l’extérieur de votre réfrigérateur et donnez à votre réfrigérateur plus d’espace libre. Vous devriez savoir que les cornichons contiennent des agents conservateurs. Ainsi, j’ai goûté de vieux cornichons qui ont été maintenus 3 ans en dehors de notre réfrigérateur ; je n’ai obtenu aucune odeur ou aucun dégoût en les goûtant. Il convient également de noter que certains aliments sont conservés à l’aide des cornichons. Ces derniers sont utilisés comme conservateurs, vous ne devriez pas vous soucier de leur conservation sans réfrigération.
Il s’agit d’un long débat si vous devez conserver les œufs à l’intérieur de votre réfrigérateur ou non. Une étude suggère que le maintien des œufs que ce soit dans un réfrigérateur ou non ne change pas leurs propriétés normales, de sorte que vous pouvez les garder à température ambiante. Une autre étude révèle qu’en gardant les œufs à l’intérieur des réfrigérateurs, vous gâchez leur goût naturel et leur saveur, il est donc préférable de conserver les œufs à l’extérieur de votre réfrigérateur.
La salade à base d’huile ou de vinaigre reste comestible pour une longue période de temps sans réfrigération. En outre, la réfrigération de vinaigrettes leur apporte une mauvaise odeur. Gardez à l’esprit que les salades qui sont à base de mayonnaise ou de yogourt doivent être réfrigérées afin de les garder bonnes. Donc, si vous avez une salade qui a déjà été assaisonnée, éloignez-la de votre réfrigérateur.
Les dommages du froid sont courants pour les fruits remplis avec de l’acide citrique comme les oranges ou les citrons. Ces agrumes ont besoin d’une température naturelle pour la maturation. Gardez les donc hors de votre réfrigérateur pour ne pas entraver ce processus. Vous verrez aussi quelques taches, ainsi que l’apparition d’une peau terne sur ces types de fruits s’ils sont conservés dans les réfrigérateurs.
Le concombre apprécie la température ambiante, de sorte que le réfrigérateur n’est pas un endroit approprié pour le préserver. Vous verrez souvent que sa peau est endommagée si vous le sortez de votre réfrigérateur. La température fraîche accélère la décomposition de la peau du concombre, trouvez un endroit sec et frais à température ambiante pour votre concombre.
Les carottes frigorifiées peuvent vous faire vivrre une expérience choquante de carottes pourries, remplies d’eau en quelques jours. Cependant les carottes ne doivent pas être stockées dans l’obscurité, loin de la lumière du soleil. Les garder dans un endroit avec une humidité élevée les amènera à pourrir rapidement.
La plupart des gens pensent que parce que le fromage est principalement composé de lait, il doit être réfrigéré. Cependant, quand il s’agit d’un fromage vieux, ce n’est pas toujours le cas. Les fromages tels que le Gouda, le Cheddar ou le Gruyère sont quelques-uns des nombreux fromages qui correspondent à cette catégorie. La différence entre ces fromages et d’autres est qu’ils sont traités. Ce processus de maturation prend normalement environ 6 mois ou plus. Les fromages qui sont âgés, ont tendance à être plus durs et plus fermes dans leurs textures. Un autre élément important est le fait qu’ils vont finir par durcir plus vite que la normale. Les garder à température ambiante vous permet réellement d’en profiter plus longtemps. Assurez-vous d’éviter de les placer dans des endroits trop chauds. La chaleur va rendre le fromage plus mou. N’oubliez pas d’emballer correctement vos fromages pour les protéger de l’humidité.
Les Attié et les Dida
Les Attié et les M’batto
Les Attié et les Kroumen
Les Attié et les Bakwé
Les atchan(ébrié) et les alladjan
Les Bron(abron) et les Agni
Les Bron(abron) et les Baoulé
Les Bron(abron) et les sénoufo
Les Bron(abron) et dioula(malinké) de Kong
Les Agni et les Baoulé
Les Abbey et les Abidji
Les Ano et les Senoufo
Les Ano et les Koyaka
Les Ano et les Djimini
Les Ano et les Baoulé
Les Ano et les Godé
Les Ano et les Agni
Les Wê(guéré et wobé) et sénoufo/Gouro.
Les Dida et les Abidji
Les Dida et les Abbey
Les Dida et les Adjoukrou
Les Dida et les Neyo
Les Dida et les Godié
Les Dida et les Kroumen
Les Dida et les Allandian
Les Adjoukrou et les Ahizi
Les Ahizi et les Alladian
Les Adjoukrou et les Alladian
Les Koulango et les Lobi
Les Sénoufo et les Koyaka
Les Senoufo et les Yacouba (ou Dan)
Les Senoufo et les Lobi
Les Senoufo et les Gouro
Les Senoufo et les Mahouka
Les Senoufo et les Koulango
Les Koyaka et les Lobi
Les Yacouba (ou Dan) et les Gouro
Les Koyaka et les Djimini
Les Koyaka et les Koulango
Les Koyaka et les Tagwana
Les Yacouba (ou Dan) et les Djamala
Les Yacouba (ou Dan)et la Tagwana
Les Gban ou Gagou et yacouba /Gouro
Les Yacouba (ou Dan) et les Mahou
Les Gouro et les Tagwana(sénoufo)
Les Gouro et les Djamala
Les Gouro et les Djimini(sénoufo)
Les Gouro et les Peulh
Les yacouba et les peulh.
Les betés ont des alliances betés de Buyo sont en alliance avec les Kroumens,les kousiés,gnamboua.
Les betés de soubré avec les Bakués, Kroumens et Neho
Il y a aussi alliance bété et Oubi (de la forêt de Taï)
Clé : accord
“Clé” peut être adjectif qualificatif ou un outil de la porte (Clef)
En tant qu’adjectif, clé (essentiel) ne s’accorde pas. A moins d’être employé avec un trait d’union comme dans mots-clés.
Des joueurs “clé” et non des joueurs “clés” (c’est comme des joueurs qui sont la Clef /clé de l’équipe).
Surtout, ne dites pas des personnalités “clées” du pays.
Clé : accord
Dadié Sinzi,
“Clé” peut être adjectif qualificatif ou un outil de la porte (Clef)
En tant qu’adjectif, clé (essentiel) ne s’accorde pas. A moins d’être employé avec un trait d’union comme dans mots-clés.
Des joueurs “clé” et non des joueurs “clés” (c’est comme des joueurs qui sont la Clef /clé de l’équipe).
Surtout, ne dites pas des personnalités “clées” du pays.